Après leurs longues années de dictature après la décolonisation, les généraux et leur maître Chengriha sont inquiets de leur sort. Ils ne se soucient si le pays est plongé dans la crise ou pas puisque leur époque a été témoin de transactions financières corrompues confirme qu’ils ne pensent qu’a leurs intérêts personnels en laissant les pauvres algériens mourir de faim, car ils ont remplacé leur fidélité à la patrie vers les puissances coloniales tels la Russie, France et les États-Unis, en échange de la protection internationale qui leur permette de rester au pouvoir et de s’enfuir avec l’argent volé, alors qu’ils savent qu’ils seront détenus s’ils perdent leur règne.
Selon des sources proches du gang, le chef de la bande le général Chengriha est dans un état de terreur, souffrant des crises d’angoisse et d’insomnie.
En effet, le chef de l’armé algérienne prend des sédatifs et des hypnotiques, il a quitté sa maison, et sa voiture, et n’utilise pas son téléphone portable et porte son pistolet et son gilet pare-balles 24 heures sur 24. Il a même changer la majorité des membres de sa sécurité personnel avec des officiers subalternes proches du général Mustafa Samaali, à qui le général Chengriha accorde de l’argent, des avantages, des appartements et des voitures, en raison de la relation particulière et intime entre eux. Il change également son lieu de résidence tous les deux jours dans des villas privées conçues pour la sécurité et le renseignement militaire et des villas secrètes dans la région d’Ain al-Naja afin qu’aucun de ses gardes ne connaisse l’emplacement dans lequel le général Chengriha passera la nuit seulement après son convoi l’atteint. Il ne monte jamais non plus dans la voiture qui lui est destinée par peur d’être aspergé de substances toxiques. Il monte dans l’une des voitures blindées de garde. Il a également acheté du matériel moderne pour détecter la variante indienne du coronavirus de peur que quiconque lui transmette l’infection. Il et ne mange ni boit jusqu’à ce qu’il soit certain que la nourriture n’est pas empoisonée.
Notre source a également rapporté que le général Chengriha souffre d’un état de tension nerveuse tardive qui peut être dû à une Schizophrénie avancée vu son âge.
Et il est obligé d’avaler des sédatifs et d’hypnotiques pour paraître équilibré et calme, en particulier lors de la visite des zones militaires.