Le peuple algérien a donné un coup très dur au chef de la bande, Gaid Saleh, afin qu’il se réveille de son rêve d’asservir le peuple algérien et d’avoir les biens de la nation.
En effet, le mouvement populaire (Hirak) a refusé la commission qui va se charger de superviser un « dialogue » national pour tenter de faire sortir le pays de la crise politique, proposé par le président par intérim le charlatan, Abdelkader Ben Saleh. Et malgré les promesses mensongères de cet imposteur, d’en mettre fin avec la répression des manifestants, les forces de sécurité ont continué d’exercer toute sorte de restrictions contre les manifestants.
Les autorités du Gaid Saleh ont maintenu les mesures et les restrictions de sécurité contre les manifestations du mouvement populaire en bloquant tout les issues menant au centre de la capitale.
Des camions de la police anti-émeute ont été déployés le long des avenues utilisées par les manifestants ainsi que la place de la poste qui est un endroit dans lequel tous les manifestants se rassemblent.
A cet effet, les activistes du mouvement populaire considèrent que cela est un indicateur de la confirmation du manque de sérieux de l’Autorité dans la mise en œuvre de ses promesses, à l’exception du retour du métro et du tramway en état de marche vendredi pour la première fois depuis le début des manifestations du 22 février.
Malgré le demandé de la libération de tous les prisonniers arrêtés lors du mouvement de protestation et que les citoyens algériens puissent exercer leurs droits constitutionnels en organisant des manifestations et des rassemblements pacifiques.
En outre, une partie des slogans soulevés lors du 23e vendredi des manifestations ont été dirigées contre la commission qui va se charger de superviser un « dialogue » national qui est composée de six personnalités bien connues Karim Younes, ancien président du Parlement, les professeurs d’université Fatiha Benabbou, Smail Lalmas et Bouzid Lazhari, ainsi que les défenseurs des droits de l’homme Abdelwahab Bendjelloul et Azzedine Benaissa.
Par ailleurs, les manifestants demandent le départ du président par intérim et du gouvernement du Premier ministre Noureddine Bedoui, affirmant appartenir au régime du président déchu. Et en tenant des slogans appelant au « rejet de tout dialogue avec le gang» et à « cesser faire l’influence sur la presse nationale et avoir une justice indépendante capable de prendre des mesures législatives, des décisions juridiques justes et correctes en toute liberté sans pression de l’autorité militaire.
Les manifestants ont également amplement critiqué le chef d’État-major, Ahmed Gaid Saleh, et demande son départ en criants «gouvernement civil et non militaire». En réponse à ce que les manifestants considèrent l’intervention de l’armée dans la détermination des pistes politiques ainsi que pour répondre aux influences extérieures des émiraties qui veulent faire de Gaid saleh un nouvel al-Sissi d’Égypte en Algérie.