Les généraux Algériens ont répondu aujourd’hui grossièrement à la main tendue et l’offre d’aide du royaume frère du Maroc pour soutenir la lutte contre les incendies dans la région de Kabylie au nord du pays, dont l’intervention nous aurait fait du bien et sauvé de nombreuses vies, mais la haine des généraux et leur antipathie envers les Kabyles nous ont fait payer cher.
Les généraux refusent ce soutien afin de faire brûler un grand nombre de Berbères innocents sous les yeux de ce régime mafieux et de servir d’exemple aux autres Algériens qui ont déjà été sous les bottes des militaires.
Ces dangereux plans terroristes des généraux pariant le pire contre l’Algérie et dans la région du nord ne sont pas nouveaux. Il s’agit plutôt de décennies d’intrigues et de conspirations visant à réaliser en vain les rêves coloniaux français d’expansion dans l’espoir impossible de restaurer la gloire de l’empire français déchu.
C’est pour cette raison que l’on trouve le régime des généraux, poursuivant son but, indifférent aux désastres humanitaires qu’il provoque, vu l’ampleur des destructions résultant de ses plans criminels. Son seul souci est de voler les richesses de l’Algérie et de contrôler le peuple algérien. Il a trouvé de quoi le soutenir et réaliser ses plans, comme cela s’est produit lors de l’incident avec le peuple kabyle, qui occupe une position historique et se dresse comme une barrière impénétrable contre les plans subversifs des généraux en Algérie et la propagation de leur corruption.
Leurs interventions ont été extrêmement négatives, utilisant des méthodes tordues pour atteindre leurs objectifs. Ils se fichent de savoir qui meurt, et ils se fichent du nombre de catastrophes qui atteignent des intérêts basés sur les cadavres d’innocents et la destruction de villes.
En ce sens, une grande preuve reste les allégations portées par la Police contre un homme libre qui est venu au secours des Kabyles et qui a été brutalement battu et brûlé par des fanatiques pour allumer les feux d’émeute entre les Amazighs et nuire à la paix du pays.