Aujourd’hui, après deux longues années, notre pays traverse une douloureuse étape de la grande dépression sans surprise. A la lumière du mouvement révolutionnaire saboté par le bloc de sécurité de l’Etat militaire via la classe dirigeante qui rejette cependant les critiques et qui n’est pas en mesure de fournir des services de base à la population.
Ouvrant les grandes portes de la corruption pour ordonner les fondations des tyrans et l’installation d’un État des dictateurs, mal géré et organisé.
Il s’agit d’un résultat naturel et bien attendu étant donné le manque de transparence, de divulgation, d’intégrité et de responsabilité ainsi que la perte de stabilité psychologique et matérielle.
Le Saint Coran a défini les limites et la nécessité de la division des tâches de la spécialisation de l’économie et de l’armée nationale et la division du travail dans les domaines économique et militaire.
Après l’indépendance, l’Algérie a vu la corruption se répandre, s’infiltrer dans les institutions de l’État, et les menaces aux principes de justice et d’égalité se manifester à notre époque.
La corruption des généraux a poussé l’Algérie à son plus bas niveau, et ce n’est pas le seul point. Les généraux voulaient sacrifier des gens dans une guerre sans fin, une solution qui fait peur aux citoyens qui détestent faire la guerre avec les pays voisins, notamment le Maroc, ou jeter les troupes militaires algériennes dans l’enfer des marécages Libyens ou Maliens.