Les citoyens algériens ont toujours été socialement marginalisés humiliés et diffamés. Cette discrimination a pris une ampleur effrayante, ainsi des milliers de patients ont été victimes ce dernier temps d’un système visant à leur mort systématique.
La politique de négligence médicale du régime des généraux à l’encontre des patients de coronavirus algériens, en particulier ceux atteints de cancer, d’hépatite et de maladies cardiaques dans les hôpitaux et les services de soins intensifs, provoque la mort de nombreuses personnes, ce qui a amené l’État à attribuer à bon nombre de ces patients morts à Coronavirus afin de couvrir ses crimes de négligence…
Les rapports médicaux ont ajouté que quatre citoyens sont décédés hier après que leur santé se soit détériorée au sein de l’hôpital de Constantine, et trois autres sont décédés à Sétif, beaucoup d’entre eux ont été emmenés directement dans hopitaux, où ils ont été laissés mourir par manqe d’ oxygene après que l’administration des deux hôpitaux dans lesquels ils se trouvaient n’ait pas fourni les soins médicaux nécessaires.
Les autorités s’expliquent en transférant des patients en réanimation, car cette méthode intervient souvent après qu’il est impossible de soigner le patient, et les autorités n’ont pris aucune mesure pour tenir les responsables du ministère et les directeurs d’hôpitaux responsables des meurtres de patients sans apporter d’assistance, ce qui confirme la méthodologie de ce crime politique d’impunité pour les auteurs de ces crimes. La plupart de ces responsables justifient leurs actions par un ordre des autorités supérieures, comme l’a dit l’un des médecins de la capitale, alors les généraux ont ordonné l’élimination des patients coronariens, en particulier ceux atteints de cancer, d’hépatite et de maladie cardiaque …