Aujourd’hui, la corruption des généraux ne peut plus être couvert en accusant les mains étrangères et l’ennemi imaginaire. Les institutions algériennes sont dans un état de grande banqueroute, et le président Tebboune vit dans un état d’isolement, et il a aucun moyen de communiquer et de faire des affaires autre qu’avec sa femme, qui exécute les ordres des généraux à la lettre…
Afin de gagner plus de temps, le régime des généraux essaie de changer la donne en changeant les postes dans un certain nombre de ministères et de directions militaires et de sécurité, alors que les experts estiment que ces mouvements sont une tentative des généraux de donner l’impression que Le président Tebboune exerce ses fonctions et que la vie politique est active en Algérie, même si la réalité est qu’elle ne dispose pas de véritable stratégie. Le vide politique en Algérie n’est pas nouveau, mais il a commencé à prendre des dimensions plus dangereuses compte tenu de sa coïncidence avec la grave crise économique que traverse le pays, en raison de l’absence de demande de gaz et de pétrole algériens, qui a entraîné une baisse des revenus du pays qui dépendent des revenus du pétrole pour assurer 80 pour cent de son budget. Les hydrocarbures représentent à ce jour 98 pour cent de ses exportations. Tous les Algériens ont peur de l’avenir, surtout avec l’émergence d’une lutte majeure entre la corruption se faufile entre qui gouverne l’Algérie.