Il y a quelques mois, dans un article intitulé « Chengriha se prépare à retirer le général Abdelhamid Ghriss de sa promotion et à l’envoyer en prison », notre site Internet annonçait pour la première fois les intentions du général Chengriha de liquider le général Abdelhamid Ghriss.
Selon nos sources, sans faire un grand bruit la date de l’annonce de la mort de Bouteflika, décédé, en fait, en mi-juillet c’est à dire il y a deux mois, était le jour où un important général est décédé des suites de tortures en prison. Bien sûr, le général Chengriha a tenté d’enterrer son crime en ne mettant en évidence que la mort de l’ancien président Bouteflika.
Ici, il y a des rapports contradictoires sur l’identité du général tué entre le général Bouzit Mohammed, le général Wassini Bouazza et le général Abdelhamid Ghriss.
Les sources disent qu’il est très probable que la cause de la mort du général était la période de maltraitance et de torture qu’il a subi, la rancune entre lui et le général Chengriha et sa grande valeur dans l’armée, où, comme nous l’avons dit précédemment, le général, assassiné, Gaid Saleh considérait le général Abdelhamid Ghriss comme la boîte noire des transactions d’armes achetées par l’armée populaire.
En outre, le général Abdelhamid Ghriss a essayé d’utiliser pleinement tous les pouvoirs et capacités que lui avait accordés le général, assassiné, Gaid Saleh. Pour établir un centre de relations, il était, comme un cercle dont le rayon ne cesse de s’étendre. Le vrai poulpe de l’Armée nationale populaire et dans tous les services du ministère de la Défense, du renseignement au soutien et à la logistique, ce qui en faisait une source d’inquiétude et de terreur pour la bande de Chengriha, il était donc prévu de se débarrasser de lui et de détruire tous les dossiers classifiés du général Gaid Saleh, afin d’enterrer tous les secrets qu’il connaissait.