Le général Saïd Chengriha ne peut accepter qu’il n’ait pas mis en œuvre les réformes démocratiques nécessaires dont la plupart des Algériens rêvaient et signalées par eux alors qu’il oubliait les promesses faites, il persiste à imaginer et affirmer la main invisible qui menace la stabilité du pays
Il a tenté à plusieurs reprises d’ignorer le fossé profond entre le peuple et l’élite dirigeante et de calmer la colère de la rue algérienne en affirmant que les manifestants sont des innocents qui ont été induit en erreur et expulsés de force de leurs maisons pour avoir enfreint les lois sur la sécurité et violé un accord entre les généraux et le people durant cinquante ans avec lequel l ‘armée, qui n’avait cessé d’être au centre du pouvoir , se présentant comme le garant de la continuité de l’État et d’une solution institutionnelle.
Pour cette raison, le général Chengriha et ses partisans cherchent des réponses déraisonnables aux manifestants, y compris les blâmes, qui peuvent être traitées en douceur et sans objection à tout moment, car la constitution établit le droit de manifester pour tout le monde.
Et que la cause de leur rébellion, d’autre part, est l’œuvre de créatures invisibles, parfois qualifiées d’infiltrés, des provocateurs, envoyés par des forces étrangères et de leurs complices qui ont inspiré, influencé et suscité les Algériens et dicté leurs revendications.
Au lieu d’écouter la voix du peuple et de réagir profondément à la crise politique, sociale et économique, le général Chengriha attribue l’échec du gouvernement des généraux à d’étranges créatures invisibles.
C’est une spéculation malsaine car ses proches pensent que c’est sa façon de mettre fin à sa peur.
Lorsque ce traître est contraint d’affronter la dualité de personnes et de conspirateurs, il se tourne rapidement vers le second parti, ce qui menace leur présence au pouvoir, et il a décidé de renforce le rôle militaire du président, et de rejeter les demandes du peuple algérien et de le mettre à genoux sans se soucier de ses intérêts.
Alors qu’ il exige la population d’endosser une nouvelle expression de mépris et d’ indifférence ridicule qui peut lui permettre d’être l’homme fort d’ Algérie et le succès sur les réseaux sociaux en relatant ses vaines ébats sur la libération de la Palestine.