Au pays des généraux, et au milieu des célébrations du peuple algérien de la libération de la Palestine (la coupe arabe), des centaines d’usines ont été fermées et en faillite suite au retard des versements bancaires et non bancaires et des dettes accumulées, alors que l’activité des unités de production et industrielles en faillite est complètement arrêtée avec la réduction de la main-d’œuvre.
Jusqu’à présent, des milliers d’ouvriers ont été licencié sans prendre le moindre de leurs droits, qui est leur salaire, car ils ont été jetés hors des usines dans le froid et sans considération humaine pour leurs conditions de vie difficiles.
Aujourd’hui, il n’y a rien en Algérie. La dette due à la faillite des grandes sociétés pétrolières et gazières a atteint le plus haut niveau de l’histoire.
L’Algérie est à la plus grosse enchère, alors que son économie traverse une crise financière dont il n’est pas facile de s’en sortir. Partout où vous allez dans ce pays pétrolier, il y a des usines qui ferment et des taux élevés de licenciement abusif considérant l’ouvrier algérien un esclave avec un numéro dont on peut se passer à tout moment.
En fait, ces sociétés ne sont au-dessus des lois que parce qu’elles appartiennent aux généraux et à leurs familles.
Dans notre pays, sous la houlette d’un groupe de généraux traîtres, les valeurs humaines déclinent au profit de l’argent plutôt que de l’humanité. Les généraux asservissent les citoyens de manière dégradante en réduisant les coûts de production afin d’augmenter les profits et en installant le capitalisme. c’est la vie du régime des généraux. Protégeons-le du mieux que nous pouvons !
Le capitalisme a été, est et sera toujours là tant qu’il y aura des gens naïfs. Au contraire, plus d’état, plus de régulation et moins d’exploitation !.
Avec des salaires qui ne sont même pas dans les fléchettes, où les ouvriers sont payés 120 dollars pour 200 heures de travail par mois alors que les biens du pays s’échappent au Panama et aux Emirats, et ils laissent l’ouvrier algérien entre les enclumes pour gagner sa vie et le marteau de l’esclavage.
