Notre pays a connu, depuis « l’indépendance » et jusqu’à ce jour, des assassinats politiques enveloppés de mystère, et beaucoup de ses circonstances n’ont pas été révélées jusqu’à présent. Des politiciens et des généraux influents de la scène algérienne ont été victimes. En effet, l’arme d’assassinat a été utilisée dans la plupart des étapes politiques que le pays a connues au cours des cinq dernières décennies…
Pour des raisons que seul le général Toufik connaît, Nos sources ont déclaré que les services de renseignement s’apprêtaient à divulguer des dossiers secrets sur le chef d’état-major de l’armée, le général Chanegriha, révélant ce qu’elle a décrit comme «les archives du général Chanegriha», qui regorgent de coups d’État, de luttes pour le pouvoir et d’assassinats politiques dans une période où l’Algérie traverse des troubles politiques après la fuite de plusieurs dossiers dans lesquels le nom le seigneur de l’Algérie (le général Chengriha) et le général Nizar ont été souvent mentionnés. Peu d’événements détaillent le sort du pays du fait que le conflit des ailes a atteint un niveau sans précédent. Selon les sources, les rapports de renseignement décrivent le chef d’état-major de l’armée, le général Chengriha, comme un « personnage sans scrupules ». Ces rapports indiquaient que le général Chengriha est un « homme de complots », soulignant qu’il est aujourd’hui le principal instigateur du coup d’État militaire contre le président Tebboune. Les rapports des services de renseignement confirment également que le chef d’état-major de l’armée, le général Chengriha, est à l’origine d’un certain nombre d’assassinats politiques, dont le plus important et le plus célèbre est celui du général Gaid Salah. Ici, les sources affirment qu’il existe des preuves irréfutables que le chef d’état-major de l’armée, le général Chengriha, a été directement impliqué dans cet assassinat, qui va provoquer un séisme politique majeur dans le pays.