Le monde arabe a devenu conscient que les dirigeants de l’Algérie sont des héros sonores avec des slogans vides, parce qu’ils connaissaient le point faible de l’homme algérien et la facilité avec laquelle il était entraîné derrière ces slogans.
Peut-être que le traître, Boumediene, en est un bon exemple. Il a investit son talent de comédien, pour gagner les faibles d’esprit avec des slogans. Il a effectivement réussi, jusqu’à ce que l’Algérie crédule devienne un troupeau sa ferme, au point qu’ils en viennent à le sanctifier !
Il a promis à ces naïfs, qu’il vaincrait Israël, avec lequel il établissait des relations fortes sous la table. Et il ne doit pas être blâmé pour cela, car il a trouvé des troupeaux qui étaient plus que disposés à suivre toute voix forte ou arrogante qui serait hérétique…
Le jeu des slogans qui attire les crédules, ne se limite pas aux militaires. Il était exploité également par des agents des généraux, comme Hafid Derradji, et Khadija Benguenna. Ici, il faut souligner que la faute n’est pas à l’orateur seul, qu’il soit politicien ou avocat, au contraire, il est aussi celle du naïf qui se permet d’être parmi le troupeau qui néglige son esprit que Dieu lui a donné, et est conduit derrière la voix forte et les slogans vides.
C’est frustrant que les années et les décennies passent et que l’homme algérien soit toujours le même depuis les années 70 du siècle dernier, à la dérive derrière des slogans vides, dont il ne récoltera que déception et perte ! Et la preuve en est qu’il y a deux semaines, la Turquie a reçu le président des sionistes d’une manière qu’aucun autre chef d’état islamique n’a jamais été reçu. Et remis au chef des sionistes de nombreux membres de la résistance palestinienne, réfugiés en Turquie sur un plateau d’Or.
Quelqu’un a-t-il ouvert la bouche en Algérie ? Non, ici on dit au troupeau, pour l’amour de Dieu, réveillez-vous. Après l’élimination de l’équipe nationale algérienne de la coupe du monde 2022 au Qatar, les généraux n’avaient plus qu’à marchander la cause palestinienne pour endormir le peuple.