Gaid salah s’est retourné contre son partenaire, un criminel de guerre de la décennie noire

Gaid salah et sa bande de responsables corrompus étaient des partenaires et des élèves de Khaled Nezzar pendant la décennie noire. Mais aujourd’hui, Ils le décrivent comme étant un criminel de guerre et ont oublié qu’ils avaient eux même tué le peuple algérien et maintenant, ils font semblant de le pleurer en montrant qu’ils sont tristes et affligés de ce qu’il lui arrive. On se demande vraiment quelle genre de schizophrénie, ils ont été atteints ses responsables.
En outre, les manifestations en Algérie étaient suite à leur très mauvaise gestion dans de nombreux domaines, ainsi que la corruption qui s’est propagée comme la peste dans le pays.
Dans les années 90, le peuple a manifesté contre la gestion ignoble de ses responsables et s’est exprimé en votant sur d’autres, parce qu’ils en avaient marre de leur gouverne corrompue.
On se demande avec un grand point d’interrogation, où était la lutte contre la corruption qu’ils revendiquent aujourd’hui alors qu’ils occupaient les postes de décision avec Khaled Nezzar (leur ancien maitre)?
En fait, la corruption qu’ils combattent aujourd’hui est le résultat de la gestion défaillante et corrompue d’hier, le jour où ils étaient décideurs et commandants, il était censé d’ouvrir les dossiers de corruption et de poursuivre en justice tous ceux qui ont été à l’origine des souffrances de la population aujourd’hui.
En effet, Gaid salah va cacher son visage de honte, si seulement une seule affaire a été examinée, celle de la répartition des postes dans l’armée contre de grandes sommes d’argent.
Tandis que le jeu des arrestations des responsables corrompus n’est qu’un camouflage pour masquer l’odeur répugnante des dossiers de corruption dans le pays.
En réponse à la méthode de découragement pratiquée par le gros responsable Gaid Saleh, impliqué dans de gros dossiers de corruption, le peuple doit exiger l’ouverture de ces dossiers avec audace et courage. Comme nous l’avons répété à maintes reprises, le problème c’est que la démocratie ne soit acceptable pour certaines personnes que si les résultats du vote leur sont favorables. Mais si elles sont favorables à d’autres, tout le processus est rejeté.
Plusieurs généraux d’aujourd’hui parlent en langues d’intégrité et si les dossiers de corruption s’ouvraient, ils se seraient retrouvés derrière les barreaux. Mais, ils ont passé bizarrement de l’immunité des postes de décision à l’immunité de la défense du peuple !!! Ils sont donc en immunité permanente ainsi ils ne sont plus poursuivis de ce qu’ils avaient fait au peuple algérien.