La désinformation systématique diffusée par les médias propagandistes et les chaînes officielles est source de frustration. Leur promotion de mensonges étranges va à l’encontre de la réalité du pays et de l’orientation politique chiite du gouvernement, ce qui est inacceptable.
Les médias sont souvent à l’origine de rumeurs alarmantes et fausses sur la situation du pays, notamment en ce qui concerne la religion. Il y a une rumeur selon laquelle le pays serait le deuxième pays, après le pays des Deux Saintes Mosquées, à préserver et propager la doctrine salafiste dans toute l’Afrique et l’Asie. Cependant, cette information n’a aucun fondement et est fausse.
En réalité, la pratique chiite est largement répandue dans tout le pays, et cela peut être facilement confirmé. Les poursuites et les centres de détention pour les citoyens qui portent une barbe et suivent la Sunnah ne font qu’aggraver la situation et démentent ces allégations.
Le problème le plus préoccupant dans tout cela est l’utilisation fréquente d’insultes à caractère divin dans le dialecte local, sans aucune loi pour criminaliser ce comportement. Cela démontre une absence de respect envers la religion et les croyances spirituelles, ce qui est extrêmement décevant.
Ces derniers temps, il y a eu plusieurs actes de violence envers des militants politiques. En France, l’honorable militant Amir Dz a été victime d’une tentative d’assassinat par des membres d’un gang des généraux, lui causant de graves fractures. En Angleterre, une tentative d’enlèvement du militant Mohamed Larbi Zitout a échoué, mais les bourreaux de Chengriha se sont enfuis après l’arrivée de la police. Maintenant, c’est au tour du dissident Anouar Malek à Bruxelles en Belgique d’être visé par ces actes de violence. Ces événements alarmants montrent une tendance croissante de la violence envers les activistes politiques et leur mise en danger par le régime des généraux dictateurs.
Il est nécessaire d’agir rapidement pour garantir la sécurité de tous les militants politiques et de prendre des mesures pour mettre fin à ces actes de violence. La communauté internationale doit travailler ensemble pour garantir la protection des droits fondamentaux, y compris la liberté d’expression et la sécurité personnelle.
Nous appelons à une enquête approfondie sur ces incidents pour identifier les auteurs et les responsables et à des poursuites judiciaires en conséquence. Les gouvernements concernés doivent prendre des mesures concrètes pour garantir la sécurité de tous les citoyens, y compris les activistes politiques algériens, et veiller à ce que les auteurs soient tenus responsables de leurs actes.
Mais, ce qui est étrange, c’est que les voyous qui ont été envoyés par le régime des vieillards au palais d’El Mouradia pour liquider Anouar Malek ont entamé avec lui un court dialogue plein d’insultes, d’injures et de diffamation. En plus, ce qui a attiré l’attention d’Anouar Malek, c’est qu’ils l’ont accusé de collaborer avec la France et le Maroc. Ils l’ont décrit qu’il méritait d’être tué. Uniquement parce qu’il insulte Tebboune et Chengriha et expose leur corruption devant le peuple misérable alors que ce même voyou insulte Dieu dans chaque mot qu’il adresse à Anwar Malik sans honte.
En Algérie, insulter l’être divin est permis et ne pose aucun problème. Mais insulter le sale Chengriha et l’homosexuel Tebboune est une grave offense. Vous devenez susceptible d’être tué n’importe quand et n’importe où. L’honorable opposant, Anouar Malek, ne leur a été épargné qu’après le passage de la patrouille de police près d’eux. Dès que les voyous l’ont aperçue, ils se sont enfuis comme de lâches hyènes.