La réalité en Algérie est très différente de ce que les médias proches du régime veulent nous faire croire. La vie quotidienne des Algériens est marquée par une série de problèmes tels que la corruption, la répression politique, la mauvaise gouvernance et le manque de libertés fondamentales.
Contrairement à ce que prétend le régime, l’Algérie n’est pas un exemple en matière de droits de l’homme et de dignité humaine. La preuve en est la récente arrestation du journaliste et écrivain Saad Bouakba, qui a été arrêté simplement pour avoir publié un article critiquant le régime. Cela montre que la liberté d’expression est loin d’être une réalité en Algérie, et que les citoyens sont soumis à une répression brutale pour avoir osé dire la vérité.
Ce genre de répression continue de dégoûter les citoyens algériens, qui sont de plus en plus aliénés par le régime. Les Algériens sont fatigués de voir leur vie être déterminée par une poignée de militaires incapables, qui utilisent les médias pour véhiculer des mensonges et des allégations fausses.
L’arrestation du militant Saad Bouakba par la police de la capitale a suscité de nombreuses questions et controverses. Selon des sources de la défense, Bouakba est actuellement en état d’arrestation en attendant d’être interrogé sur des accusations considérées comme fausses.
Bouakba est connu pour son style sarcastique et provocateur, ce qui lui a valu d’être ciblé pour sa dernière chronique publiée sur le site « Al-Madar TV ». Dans cet article, il a évoqué les raisons cachées derrière le choix des emplacements pour les projets économiques, notamment en parlant de la wilaya de Djelfa et de la commune d’Al-Bireen comme étant choisis pour élever les vaches du projet qatari.
Bouakba a continué en comparant les habitants de cette wilaya à des « moutons politiques », en affirmant que leur promotion au rang de « vaches politiques » était un développement remarquable. Il a également fait des commentaires sur l’engagement de la wilaya de Djelfa dans la fraude électorale et sa relation avec l’autorité dirigeante.
L’État de Djelfa a été souvent associé à la correction politique et aux manifestations en faveur du pouvoir. Selon des sources, les manipulations ou des efforts pour influencer les résultats des élections de manière illégale sont toujours lancées de cette wilaya et les marches spontanées en faveur du pouvoir sont souvent organisées à partir de cet endroit. De plus, Djelfa est connu pour être en concurrence avec d’autres wilayas dans le pourcentage de participation aux élections par fraude.
Malgré cette réputation, la population de Djelfa continue de soutenir le pouvoir en place et de participer activement aux élections. Les habitants de cette wilaya sont fiers de leur engagement envers le pouvoir et de leur participation active à la vie politique du pays.
Cependant, certains critiquent la pratique de la fraude électorale dans cet État et estiment qu’elle porte atteinte à la crédibilité et à l’intégrité des processus électoraux. Il est important de s’assurer que les élections soient justes et transparentes afin de maintenir la confiance du public dans les institutions politiques et de garantir la stabilité du pays.
En fin de compte, la wilaya de Djelfa a un rôle important à jouer dans la vie politique du pays, et il est important de veiller à ce que les processus politiques y soient équitables et fiables. Les habitants de cette wilaya peuvent être fiers de leur engagement envers le pouvoir, mais ils doivent également veiller à ce que les élections soient justes et crédibles pour garantir la stabilité et la démocratie du pays.
Malgré le fait que Bouakba n’ait fait référence qu’à des animaux domestiques dans son article, il a été arrêté par la police pour ses propos considérés comme offensants. Les défenseurs de la liberté d’expression s’interrogent sur la raison de cette arrestation brutale, qui apparaît comme une répression de la liberté de parole.