Aujourd’hui, je vous raconte l’histoire de deux vrais princes algériens qui vivent parmi nous à notre époque. Le premier est un prince courageux qui ne tolère pas l’injustice et la haine et les combat par tous les moyens. Le second est une princesse, dont le droit à l’expression de ses pensées et de ses rêves a été pris par la junte militaire. Elle a décidé de se rebeller contre cette oppression et montre qu’une seule femme peut être plus forte que des milliers d’hommes qui se prosternent devant la junte militaire. Les deux princes ont été contraints de quitter l’Algérie pour échapper à la trahison des dirigeants du palais. Ce palais, qui est le siège de la trahison et de la désolation, est peuplé par une bande de vampires qui boivent le sang des plus démunis et se nourrissent de leur chair. Il n’y a pas de place pour ceux qui osent s’opposer à un peuple qui est déconnecté de la réalité. Leurs seuls soucis sont de faire la queue pour obtenir un litre de lait ou un kilo de bananes ou de pommes de terre. Quant à la question de savoir ce qui a causé cette situation, peu importe. Nous sommes le peuple élu par Dieu et nos ennemis sont nombreux.
Nos héros, les princes, sont Amir Dz et Amira Bouraoui. Tous deux ont été victimes du régime militaire et de l’apathie du peuple. Ils n’ont commis aucun péché en refusant de subir l’humiliation, le mépris et la désolation dans leur propre pays. Ils ont dévoilé la corruption du gang au pouvoir, qui détourne des sommes considérables en milliards de dollars alors que les citoyens souffrent de la pauvreté et de la faim dans un pays riche en gaz et en pétrole.
Le prince Dz est connu pour sa lutte et son combat contre le régime algérien dictateur, mais la princesse Amira Bouraoui a miraculeusement échappé à la mort.
En effet, des ordres ont été donnés pour la liquider, comme cela est arrivé à ses prédécesseurs. Cependant, grâce à sa nationalité française, le consulat de France en Tunisie a pu intervenir pour la protéger des griffes du gang maléfique. Elle a été exilée en France pour rejoindre les autres militants algériens qui luttent pour une Algérie civile et non militaire. Ce droit est garanti par la constitution dans le monde entier, sauf dans l’État des généraux qui sont prêts à exiler la moitié du peuple et à anéantir l’autre moitié pour conserver leur pouvoir.