Le Gaid Salah est malade et pour guérir le médecin lui a prescrit de prononcer un discours le matin et un autre le soir pour se sentir roi

Depuis des mois, Gaid Saleh met tout en œuvre pour promouvoir un produit «périmé» sous le titre de «Combattre la corruption et la bande». Se sont des une chanson que ses esclaves ont chantée et dansée sur les sites des réseaux sociaux et tous les annonceurs et invités présents dans les canaux d’égout l’ont appris par cœur et ont scandé « Gaid Saleh combat la bande »…
La France, l’Amérique, Israël et même les habitants de Mars vivent dans la peur à cause des discours du Gaid Salah… C’est grâce lui que l’Algérie deviendra l’une des grandes puissances… Enfin, la répétition en continue de l’idée que Gaid Saleh est un Mujahid, bien que la seule guerre à laquelle il ait pris part était contre le Maroc et il était le premier à fuir la guerre.
En outre, des mois de mensonges continus pendant lesquels le système des généraux veut être soutenu par des gens simples et ignorants ou d’être avec le régime militaire face au peuple conscient sans personne ne leur disent sur les données qui poussent les gens à avoir la foie ou à croire en la capacité de ce système à faire autre chose que l’échec et à brasser cet échec et en faire une histoire triste ornée d’un drame fantastique sur la lutte contre la corruption et le complot des superpuissances.
Général Gaid Salah(le dictateur), tliba bahaeddine (trafiquant de drogue), Badawi, Ben Saleh et Karim Younes (poupées du régime), où est votre courage pour dire aux gens que vous êtes rien que des menteurs, vendant des illusions à Zawawla et à des gens simples et modestes sur le faite fait de combattre la bande. C’est vous la bande et vous dites aux gens que ceux qui participent aux manifestations sont des corrompus et traitres. Maintenant vous avez vu avec vos propres yeux des millions de personnes demander en une seule voix votre disparition, votre départ du pouvoir ainsi que les jeunes maudissent votre avidité pour le pouvoir et votre corruption qui nous a amenés là où nous sommes.