Depuis des années, notre pays algérien est plongé dans une spirale infernale de phénomènes étranges et anormaux, intimement liés à une politique corrompue, répressive et perturbatrice menée par les généraux. On ne compte plus les longues files d’attente, les bordels clandestins, et les homosexuels qui s’adonnent à leurs pratiques dans les mosquées, chassant même leurs clients du lieu de culte. Des vidéos postées sur les réseaux sociaux documentent ces pratiques, véritables marques déposées de notre pays.
Pendant ce temps, nos imams, quand ils ne se livrent pas à des discours haineux, maudissent Dieu et traitent les fidèles d’infidèles et de Juifs. Ces pratiques ne sont pas rares dans les pays du gang Tebboune et du con Chengriha.
Nous avons également la triste réputation d’intimider tous nos voisins, quels que soient les motifs. Les rassemblements sportifs ou religieux ne se passent jamais sans que nous ne nous moquions de nos frères arabes et africains. Nous les insultons, les diffamons, les traitant de singes ou d’athées qui suivent les pas vers l’enfer de Bourguiba. Pendant le Ramadan, nous nous acharnons sur la Tunisie voisine, les accusant de manger pendant ce mois sacré et prétendant qu’ils ne jeûnent pas. Pourtant, nous avons nous-mêmes des joueurs rompant le jeûne en public.
Le dernier exemple en date est la sortie médiatique du dirigeant efféminé du pays, Chengriha, à la télévision d’Etat. Il était assis à l’heure de l’appel à la prière de midi le jour du Ramadan, et devant lui sur la table, plusieurs bouteilles d’eau minérale, des boissons non alcoolisées, deux assiettes de bonbons et de craquelins et un cendrier avec des mégots de cigarettes fraîchement utilisés ont été placés dessus. Chengriha sourit de son sourire idiot. Le signe des jeûneurs n’apparaît pas sur lui. En plus des vidéos diffusées dans le pays de ceux qui rompent le jeûne pendant le mois de Ramadan, et ils interpellent les téléspectateurs, et annoncent le défi de rompre le jeûne publiquement devant tout le monde, indifférent au caractère sacré de ces jours bénis.
Si la Tunisie voisine compte plus de 50% de jeûneurs, alors nous n’avons que 10% de ceux qui jeûnent ce mois sacré. Assez d’insulter la création de Dieu. Il est temps de nous regarder en face et de cesser de nous insulter les uns les autres, de respecter la création de Dieu et de faire amende honorable.