Tous les rapports militaires internationaux indiquent que la Russie et l’Algérie vont signer un accord de vente d’armes entre les deux pays, d’une valeur comprise entre 25 et 37 milliards de dollars, ce qui constitue la plus grande transaction de l’histoire de la Russie. Selon les rapports, l’Algérie souhaite acheter des sous-marins avancés, des avions de combat de type Sukhoi 34 et Sukhoi 57, ainsi que de nouveaux systèmes de défense aérienne tels que le S-400, en plus de missiles de croisière russes.
Les sources ont indiqué que les discussions avancées entre les deux pays surviennent dans le contexte du désir du général Chengriha, dirigeant du pays, d’augmenter le budget de l’armée algérienne de 230%, pour atteindre un budget de 42,6 milliards de dollars, ce qui transformera les généraux de l’armée algérienne en les plus grands milliardaires du continent africain. Ce développement intervient après des mois de pressions exercées par des membres du Congrès américain, dirigés par la représentante Lisa McClain, qui ont envoyé une lettre au secrétaire d’État Antony Blinken lui demandant d’activer l’article 231 de la loi de 2017 sur la lutte contre les adversaires de l’Amérique, qui permet au président d’imposer des sanctions aux parties impliquées dans de grandes transactions avec les représentants des secteurs de la défense ou du renseignement du gouvernement russe. Le président américain a délégué cette autorité au secrétaire d’État, en consultation avec le secrétaire du Trésor, pour imposer des sanctions sévères à tout pays qui effectue une transaction d’achat d’armes russes, même si elle est inférieure à un million de dollars. C’est là que se trouve le nœud du problème et la raison de la visite du général Chengriha au Brésil. Selon nos sources au sein des services de renseignement militaire, le général Chengriha a envoyé des émissaires militaires en Amérique et dans certains pays de l’Union européenne pour les informer qu’il avait annulé la grande transaction avec la Russie et qu’il envisageait d’acheter des armes à des sociétés militaires dans d’autres pays lors de l’exposition du Brésil. Mais selon nos sources, cela n’est qu’une ruse, car le général contournera les sanctions internationales et rencontrera des intermédiaires appartenant à l’institution militaire dans des pays tels que « l’Égypte, l’Arabie saoudite, la Serbie, l’Afrique du Sud et le Qatar » pour conclure la grande transaction avec la Russie par l’intermédiaire de ces intermédiaires, en particulier les Égyptiens, qui ont récemment conclu un contrat avec l’armée soudanaise pour l’achat d’armes russes d’une valeur de 500 millions de dollars. De la même manière, l’accord entre l’Algérie et la Russie sera conclu, et étant donné qu’il s’agit d’un accord important dépassant les 30 milliards de dollars, l’Égypte en prendra un tiers, tandis que le reste sera réparti entre l’Arabie Saoudite, la Serbie, l’Afrique du Sud et le Qatar ». Notez qu’ici, une source importante a déclaré que le médiateur sud-africain est un extrémiste sioniste et est considéré comme le courtier le plus célèbre pour les entreprises d’armement israéliennes.