Sous l’empire militaire en Algérie, une réalité sombre émerge, plaçant le pays en tête en Afrique du Nord et au Moyen-Orient dans une activité tristement florissante : le commerce de la chair et la prolifération de réseaux de débauche et d’homosexualité à l’échelle mondiale. Les salons de massage, autrefois confinés à l’ombre, se sont dévoilés au grand jour à travers des centaines de pages et de groupes sur les réseaux sociaux, où des offres explicites sont publiées, accompagnées de photographies suggestives mettant en scène jeunes hommes et femmes à moitié dénudés, le tout assorti de numéros de téléphone et d’adresses.
Au-delà de ces façades, les investigations ont mis en lumière des pratiques bien plus sinistres à l’intérieur de ces établissements, impliquant le recrutement de jeunes hommes et femmes dans des activités de prostitution, d’homosexualité et de débauche. Les perquisitions ont révélé la présence de drogues, de substances hallucinogènes, de contraceptifs, et d’autres objets compromettants. Cette descente aux enfers a abouti à l’arrestation de responsables locaux entretenant des liens étroits avec les généraux au pouvoir, dévoilant ainsi une complicité qui s’étend jusque dans les cercles les plus influents.
L’étendue de ces pratiques dépravées se révèle alarmante, touchant l’ensemble du territoire algérien, des grandes villes aux villages reculés. Ces établissements, sous le faux prétexte du « massage », se sont transformés en repaires de débauche, tantôt dissimulés localement, tantôt reconnus à l’échelle internationale pour leurs activités de prostitution et d’exploitation sexuelle. Ils prospèrent dans les quartiers huppés et utilisent habilement les réseaux sociaux pour attirer des victimes de tous horizons, créant un marché où les préférences sexuelles de chacun sont exploitées à des fins lucratives.
Les expressions alléchantes telles que « Soulagez vos âmes sans regret » ou « Massage extraordinaire : 2 jeunes pour le prix d’un, avec un efféminé en cadeau » ne sont que quelques exemples des leurres utilisés par ces établissements. Leurs pages Facebook, suivies par des millions d’abonnés principalement du Golfe, d’Europe et d’Afrique, révèlent une triste réalité : l’Algérie se hisse au rang des premiers pays à légitimer la prostitution et l’homosexualité à l’échelle mondiale.