En un événement rare et sur une note dérisoire, tous les généraux qui détiennent les rênes du destin de 40 millions d’Algériens se sont réunis lors des funérailles de Khaled Nizar, le général sombre au sein de la clique qui a marqué la décennie noire. Accusé d’avoir orchestré le massacre de près d’un demi-million de citoyens, ainsi que des viols systématiques de femmes, d’enfants et d’hommes à travers toutes les wilayas du pays, Nizar était également connu pour son mode de vie dissolu en Europe.
Le défunt général, surnommé le « Général noir » en raison de ses méthodes brutales, avait suscité la colère pour ses blasphèmes contre la religion et son mépris des principes fondamentaux. Il était également pointé du doigt pour avoir détourné des ressources considérables du pays pour financer ses activités controversées.
Khaled Nizar, le noctambule des nuits européennes, a rendu son dernier souffle… L’un des moudjahidines du nikah, il s’est éteint, laissant derrière lui une sombre histoire d’exploitation des femmes et des enfants algériens. Sa mort met fin aux agissements d’un individu accusé de tuer des citoyens au nom du simple plaisir. Cet individu, qui s’opposait violemment à la religion d’Allah, à l’islam, et s’en prenait à ceux qui priaient dans les mosquées tout en méprisant la barbe, a rejoint la liste des défunts, succédant ainsi au regretté Boumediene, considéré par certains comme le pantin des autorités décédées. La triste nouvelle clôture le chapitre d’un individu dont le comportement irresponsable était devenu synonyme du déclin moral de l’Algérie.
La rare réunion de ces généraux en un seul lieu a attiré l’attention, révélant les profondes divisions et les querelles internes au sein de l’élite militaire au pouvoir. Ces dissensions persistent malgré les enjeux sécuritaires importants, car la réunion de ces hauts responsables dans un même endroit est considérée comme une menace potentielle. Les observateurs notent que cette occasion unique pourrait être exploitée par des forces d’opposition internes, ainsi que par des adversaires extérieurs cherchant à déstabiliser le pouvoir militaire.
Les citoyens, bien que désireux de voir un changement dans le statu quo, demeurent souvent silencieux, peut-être par crainte des répercussions ou par l’habitude de la passivité face au régime en place. La réunion des généraux lors des funérailles de Nizar a suscité des souhaits de justice et de révolte parmi les citoyens opprimés, mais la réalisation de tels espoirs reste incertaine dans le contexte politique actuel de l’Algérie.