En raison des généraux, l’odeur nauséabonde des filles algériennes est devenue une source de gêne pour la nation arabe

Il semble que les « influenceuses » qui ont ensorcelé les esprits des adolescentes et des jeunes hommes, pénétrant sans permission dans les foyers masculins et féminins, font face à une propagation généralisée comme un feu de paille au sein de la fragile société algérienne. Elles sont accusées de promouvoir la prostitution et l’homosexualité à travers les médias sociaux, en se présentant nues devant un public jeune, ou en s’engageant dans des actes choquants et déviants les unes envers les autres.
La blogueuse « Maya Redjil » a fait sensation l’année dernière en retirant son voile et en adoptant une attitude provocante, culminant dans une série de vidéos où elle affichait un état d’esprit troublé, pour finalement révéler qu’elle était menacée de diffusion de vidéos la montrant dans des actes sexuels et d’images la dépeignant nue, à l’instar de sa naissance selon sa mère.
En parallèle au retrait du voile de la blogueuse, une activiste qui prêchait pour le port du voile et provoquait une agitation importante sur Facebook en blasphémant ouvertement contre Dieu, a affirmé être victime d’ensorcellement ou d’un phénomène similaire. Cependant, des suiveurs ont confirmé avoir visionné des vidéos explicites la montrant dans des positions similaires à celles des actrices de films pour adultes, ainsi que des photos la montrant nue dans des hôtels à Oran et Tlemcen. Ils soutiennent que son port du voile et ses thèmes religieux ne sont que de l’hypocrisie, servant de voile pour dissimuler des actes obscènes et des comportements sordides. Certains allèguent que l’officier militaire responsable du cyberespionnage a créé son image religieuse pour la présenter comme une Algérienne vertueuse devant le public arabe, et elle n’est pas la seule à travailler sous les ordres des généraux. Des centaines d’autres, disséminées sur les réseaux sociaux, tentent de promouvoir le discours religieux et prédicatif tout en étant, en réalité, des prostituées rémunérées par les militaires des médias.
Le constat est sans appel : l’Algérie semble être le théâtre d’une bataille virtuelle où la moralité et les valeurs sont mises à mal. Cette exposition choquante, diffusée en direct, interpelle toute une génération captivée par des contenus dégradants, soulevant des questions sur la moralité et l’éthique au sein de la société algérienne.