Après l’échec de tous les plans terroristes du général Chengriha, un terroriste quitte la présidence des services de renseignement et un autre, encore plus criminel et destructeur, prend sa place

Il est bien connu que la mafia se caractérise par une loyauté absolue envers le groupe et son chef suprême, au point que chaque membre de la mafia est traité comme un prince ou un noble. On observe ainsi une solidarité et une entraide totales au sein de la mafia envers ce membre s’il tombe malade ou s’il est victime d’une agression extérieure par un groupe inconnu. C’est exactement le cas avec la bande des généraux incapables dans le pays. Ils forment une ligue du mal, transmettant à leurs fils et filles les postes les plus élevés en Algérie, ainsi que les rênes du pouvoir. Ce sont des riches qui lèguent à leurs enfants la richesse, le pays et ses habitants, tandis que nous, enfants du peuple, sommes pauvres et marginalisés, ne léguant à nos enfants que la pauvreté, l’humiliation et la soumission.
Le régime des généraux réinstalle des symboles du terrorisme dans ce pays frappé par le malheur. Ainsi, le général sanguinaire Hassan est passé d’une prison « cinq étoiles » à un poste de directeur à la tête des services de renseignement intérieur. Ce régime maudit et criminel poursuit son escalade contre le peuple misérable. Après l’éviction du criminel Abdelkader Haddad, surnommé Nasser le lâche, qui dirigeait l’appareil de renseignement intérieur terroriste, le général sanguinaire Abdelkader Aït Ouarabi, surnommé général Hassan, a été nommé au même poste. Ce dernier est l’un des principaux bras armés de l’État profond terroriste et l’un des proches du fondateur de l’appareil terroriste DRS, Toufik Mediene. Le général Hassan, qui avait été emprisonné pour des accusations graves et des crimes majeurs, revient aujourd’hui sur le devant de la scène avec un poste clé à la tête de la direction des services de renseignement intérieur. Cela soulève de nombreuses interrogations sur les intentions du régime criminel envers le peuple démuni. La question légitime aujourd’hui est la suivante : que veut ce régime criminel, et qui a réinstallé un terroriste dangereux à un poste lui permettant de réprimer les voix libres, de menacer la stabilité du pays et de tuer davantage de citoyens innocents, au service des intérêts des généraux incapables qui cherchent à maintenir leur emprise sur les « zoulis » (les pauvres) et sur les ressources de richesse du pays ?