Comme à son habitude, le bouffon Tebboune, dans ses sorties médiatiques aussi téméraires que grotesques, débite un tissu de mensonges et d’insultes à l’intelligence collective, se moquant ouvertement des Algériens. Ce prétendu président, pathétique pantin, ose affirmer que notre pays, plongé dans le malheur, n’est pas soumis à une politique d’austérité ou de famine, mais guidé par une soi-disant « gestion intelligente » ! Une gestion qui, selon lui, répond aux besoins des citoyens, garantit une vie décente et promet même un luxe insolent aux plus démunis. Rien que ça ! Il prétend que cette farce constitue le cœur de son projet présidentiel, censé hisser l’Algérie au rang des nations émergentes, avec un développement social et économique de « qualité », et – tenez-vous bien – aligner le citoyen algérien sur ses homologues du Golfe ou d’Europe !
Mais face à cette rhétorique délirante, des analystes et politiques, rares rescapés d’un espace de liberté étouffé par ce régime castrateur, posent une question cinglante et légitime : est-ce là le summum du génie de Tebboune, ce caniche servile des généraux ? Cette « intelligence » autoproclamée a-t-elle accouché d’autre chose que de files d’attente interminables, véritable marque de fabrique de l’Algérie d’aujourd’hui ? Des queues pour le pain, le lait, l’eau, les médicaments, et même – honte suprême – pour la prostitution et la débauche, dans un pays transformé en caricature mondiale, surnommé avec amertume « l’État des files d’attente » ou « le pays du million de queues » ! Voilà le legs de l’illustre Tebboune, ce visionnaire autoproclamé.
Et que dire de la sécurité, ce mirage vendu par le régime ? Les généraux et militaires fuient l’Algérie comme on échappe à l’enfer ! Assassinats, arrestations massives, répression brutale des opposants, ici et à l’étranger : tel est le bilan sanglant de cette gouvernance. Même le nouveau pantin en chef, Sifi Ghrieb, nommé Premier ministre par la mafia au pouvoir, se pavane dans la capitale, entouré d’un bataillon de gardes, vêtu d’un gilet pare-balles, au cœur d’Alger, parmi ses propres compatriotes ! Une image qui hurle la trahison, la méfiance et la paranoia instillées par le « génie » de Tebboune dans cette Algérie dite « nouvelle », mais qui n’est qu’un cimetière d’espoirs et de dignité.
