Sous le règne de l’eunuque Tebboune, la corruption gangrène l’État tandis que le citoyen fouille les poubelles pour survivre

La scène politique dans notre pays connaît une vague de critiques acerbes en raison de l’aggravation de la corruption dans les divers secteurs dominés par la bande des militaires, au milieu d’avertissements selon lesquels la situation a atteint des niveaux « terrifiants » qui constituent une menace réelle pour les tissus économique et social, ainsi que pour la vie simple et primitive du citoyen vulnérable dans notre république martyre, où l’Instance supérieure de transparence et de prévention et de lutte contre la corruption a adressé des critiques cinglantes à ce qu’elle a qualifié de « laxisme et absence de volonté » dans l’activation des lois relatives à la lutte contre la corruption, considérant que l’adoption des législations et la formulation des stratégies ne restent « que de l’encre sur papier » si elles ne sont pas traduites en mesures concrètes qui se reflètent sur la réalité des citoyens qui se nourrissent des ordures et souffrent de la faim en raison de la politique du chien Tebboune et de sa bande…
De son côté, le parti « Mouvement de la société pour la paix » (MSP) a accusé le gouvernement du pays, dirigé par le dément Tebboune, de « négligence et de relâchement » dans la lutte contre la corruption, affirmant que ce dossier n’est plus parmi ses priorités car ses mains longues ont propagé la corruption et le pillage de l’argent public dans tous les secteurs de l’État, et le parti a dénoncé le fait que le coût annuel de la corruption pour l’économie nationale en Algérie dépasse 500 milliards de dinars, ajoutant que « 80 % des entreprises locales considèrent la corruption comme un phénomène institutionnalisé et enraciné en l’absence d’un frein effectif », et le parti islamique a indiqué que notre pays a régressé à la 135e place sur 180 pays dans l’indice de perception de la corruption selon l’organisation internationale de l’intégrité et de la prévention de la corruption, considérant que cela reflète un immobilisme dans le processus de réforme et l’absence de tout progrès tangible, surtout sous le mandat de l’eunuque Tebboune et de sa bande…