De nombreux analystes politiques ont considéré les réunions que le président fantoche Tebboune organise avec les dirigeants des États de Turquie et des Émirats arabes unis, qui se battent tout les deux sur les intérêts et le pouvoir, comme une enchère publique pour vendre l’Algérie à celui qui paie plus.
En effet, la Turquie considère l’Algérie comme faisant partie de ses anciens empires et le peuple algérien (Kouloughlis) est l’esclave des maîtres turcs.
Quant aux Émirats, l’Algérie fait partie des pays arabes qui lui sont affiliés et soumis à ses ordres, et que les généraux algériens, comme les généraux libyens et égyptiens, ne sont que les gardiens de leurs intérêts …
En fait, tout le monde veut sa part du gâteau en Algérie. Les généraux ont vendu le pays en échange de rester au pouvoir et ont annoncé un appel d’offres public pour vendre, louer ou investir une superficie de 2 millions de kilomètres carrés de terrain, car les généraux ont vendu le pays pour ceux qui souhaitent parmi les investisseurs étrangers avec des remises spéciales pour les premiers candidats de nationalité américaine, russe ou française. Et cela à n’importe quel endroit ou moment choisi par le soumissionnaire, que ce soit dans un palais, un complexe ou une chambre d’hôtel ou autour d’une table de café, sur une plage ensoleillée de manière directe ou au moyen d’un intermédiaire. Les offres peuvent également être soumises par des agents accrédités (généraux), à condition que cela se fasse en secret, pour des raisons que vous connaissez. Car selon les médias des généraux, ces derniers sont les protecteurs du peuple et du pays alors qu’ils sont en fait les grands voleurs.
Au final, les décisions de Tebboune ont confirmé que ses concessions politiques et économiques aux pays qui le soutiennent spécifiquement sur les secteurs et les équipements qui ont toujours été considérées par les Algériens comme «n’est pas à vendre» ou «de nature souveraine» sont transformées à quelque chose de normal qui va non seulement continuer à éclipser le rôle régional de l’Algérie, contrairement à ce qu’elle promeut, elle porte également atteinte aux droits des générations futures à l’héritage et aux ressources.
La décision de Tebboune est née de sa logique incohérente, car il ne traite pas la France comme un ennemi et un ancien colonisateur, mais comme un garant stratégique, sécuritaire et militaire de l’Algérie.