Amnesty International, Human Rights Watch et d’autres organisations n’ont publié aucun rapport sur la situation des droits humains en Algérie, en particulier le meurtre, l’enlèvement et la détention arbitraire des activistes et militants en Algérie.
Pour nous assurer que ses organisations ont leur propre agenda et ses objectifs qu’elles cherchent à atteindre par tous les moyens et méthodes, même si le résultat est l’extermination du peuple algérien ou l’entrée du pays dans une nouvelle guerre civile, comme cela s’est produit dans la décennie noire…
Les organisations «Amnesty International» et «Human Rights Watch» ne condamnent ni ne dénoncent les crimes de meurtre et d’enlèvement de citoyens et la torture des militants dans les prisons du régime des généraux.
En effet, nous n’avons pas entendu, par exemple, que ces organisations aient condamné le meurtre de militants comme cela s’est produit avec l’avocat Zedam Tarek, ou l’enlèvement de centaines de citoyens dans toute l’Algérie, ou la torture à mort de prisonniers d’opinion, comme cela est arrivé au militant et blogueur, Abdallah Ben Naoum.
Il devient clair pour nous que les deux organisations «Amnesty International» et «Human Rights Watch» sont totalement injustes envers le peuple algérien.
Au contraire, ils étaient biaisés en faveur du régime des généraux, et cela peut être qualifié par le double jeu de ses organisations à cause de leur silence à propos des crimes contre l’humanité commis par le régime des généraux en Algérie. Par conséquent, il semble que les rapports de ces organisations soient prêts pour ceux qui paient des millions de dollars, ce qui est considéré comme une véritable honte dans leur histoire. Ainsi, ceux qui en sont responsables doivent quitter le domaine des droits de l’homme parce qu’ils sont dépourvus même de la plus simple éthique professionnelle de leur travail. Ils doivent en fait, se tenir à la même distance de tout le monde sans se tenir d’un côté ou de l’autre.
Ces organisations ont ignoré toutes les demandes que les libéraux leur ont envoyées pour dénoncer les crimes contre le peuple algérien. Mais en vain parce que les généraux ont versé des centaines de millions de dollars aux deux organisations, « Amnesty International » et « Human Rights Watch », afin de leur faire taire et ne pas les dénoncer.
Il est donc devenu clair pour nous que les déclarations et les rapports de ces organisations sont principalement politiques et ils n’ont aucun rapport avec les droits de l’homme, et nous percevons également l’existence d’agendas cachés au service des partis qui indiquent à ces organisations ce qu’elles doivent écrire dans leurs rapports.
Par conséquent, il est naturel que les rapports soient publiés en fonction de ce que veulent ceux qui soutiennent ces organisations, qui se concentrent sur les pays et pas sur d’autres. C’est un dualisme qui indique et révèle à quel point les organisations s’écartent du chemin de la raison et ne recherchent que l’argent.