Aujourd’hui, vous les Algériens libres, où que vous soyez, à l’intérieur ou a l’extérieur du pays, la solution est de s’unir et de continuer le Hirak. C’est la seule voie pour casser les chaines de ce régime dictateur et couper la main de fer du général Chengriha car le changement c’est maintenant ou jamais pour un régime civil et non militaire. Le peuple algérien veut et a le droit de vouloir de se libérer de l’emprise militaire sur l’état algérien.
Mes frères, libéraux algériens, aucun de vous n’ignore que le dictateur général Chengriha et ses partisans parmi les militaires et les services secrets qui sont sous contrôle de ce régime autoritaire et ses subordonnés parmi les conseillers, et mercenaires dans toutes ses institutions de l’État, au-dessus desquelles se trouvent le législatif, l’exécutif, des pouvoirs judiciaires et les médias qu’ils sont contrôlés indirectement par l’intimidation et la séduction, par la générosité du général Chengriha, en leur distribuant l’argent du peuple algérien afin de laisser infiltrer les traitres dans tous les coins du pays …
Dans l’intérêt de sa continuité à apprivoiser le peuple algérien de l’écraser et le diriger vers le néant avec toutes les méthodes d’intimidation, d’oppression, de mépris, d’humiliation, d’assassinats, d’enlèvements, d’arrestations et d’arrestations arbitraires, ce qui est une politique dictatoriale orchestré contre le peuple algérien par le criminel, Chengriha afin de nuire au peuple algérien libre, en s’appuyant sur la tactique historique et classique « Diviser pour régner », en incitant à la division et aux conflits, et c’est pourquoi ses agents poursuivent leur travail pour diviser le peuple algérien uni en encourageant le racisme, l’exclusion et la marginalisation, comme pousser les Arabes contre les Amazighs, puis les islamistes contre les laïcs… Et faire détourner le peuple algérien pour se soucier des questions secondaires comme la cause Palestine, et le Front Polisario, etc. et le dissuader des grands problèmes intérieurs de premier lieu de notre pays, Algérie. Même si certains Algériens insistent d’ignorer cette vérité, pleinement conscients de ce que la scène exige de nous en tant qu’opposants à ce régime militaire oppressif.
Nous connaissons avec une grande certitude et nous reconnaissons qu’il existe des divergences des points de vue entre nous sur diverses questions sensibles, mais c’est certain que notre ennemi est commun. Il faut le départ immédiat de Chengriha, et sur cette base, nous devons unir notre lutte sans lâcher la prise et en travaillant sincèrement pour réaliser le rêve d’avoir un État Algérien civil et non militaire.