Des avocats et des défenseurs des droits humains ont mis en garde contre la détérioration de la santé du militant et blogueur Abdellah Ben Naoum dans sa prison, à la suite des tortures qui a subit par les hommes des généraux, qui l’ont poussé à faire une grève de la faim en raison de l’injustice et du mépris pratiqués sur lui. Cependant, le peuple algérien, pour qui ben Naoum a combattu, est inconscient, ne s’intéresse qu’à l’actualité de notre équipe de football et de la libération de la Palestine via les sites de réseaux sociaux.
Pour cette raison, la famille du militant Abdellah Ben Naoum, sollicite les organisations internationales, la Croix-Rouge, et les institutions internationales des droits de l’homme de faire le nécessaire pour sauver la vie du détenu.
La défenseure des droits humains et avocate (F. A), qui a récemment visité la prison, a appelé toutes les institutions internationales des droits de l’homme à œuvrer et établir des obligations importantes pour assurer la protection du militant Abdellah Ben Naoum ainsi que tous les détenus politiques dans les prisons des généraux contre de tels abus en confirmant qu’il y a un grave danger pour leurs vies.
Un membre de l’association algérienne pour la promotion de la citoyenneté et des droits de l’homme (HK) a également appelé à travailler ensemble pour mettre fin aux violences contre la vie et les personnes, en particulier les traitements cruels et la torture. Les atteintes à la dignité de la personne en particulier les traitements humiliants dans les prisons. En ajoutant que ce qui se passe sous forme de torture nécessite l’arrêt rapide de tous les mandats d’arrêt et se limiter sur la demande pour terminer les enquêtes en présence d’avocats.
Il a expliqué qu’il est nécessaire d’ouvrir tous les dossiers d’enquête après 2019 par un comité national compétente qui sera formé d’urgence, comprenant des organisations de la société civile et la Commission internationale des droits de l’homme.
Dans ce contexte, un membre de l’Association algérienne pour la promotion de la citoyenneté et des droits de l’homme a déclaré que la demande de faire cesser tous les mandats d’arrêt émis relève de l’application de la justice et des garanties dans le cadre des normes internationales.