Attendons-nous à la ruine après que l’Iran a posé ses pieds en Algérie ?

Tout le monde arabe sait qu’il existe un syndrome bien connu, à savoir que là où se trouve l’Iran, il y a la ruine (Irak, Yémen, Syrie, Liban, Afghanistan). Et ce n’est un secret pour personne non plus, ce que l’Iran fait contre la volonté du peuple algérien de se libérer de la tyrannie des généraux, qui sont perche sur la le corps du peuple algérien depuis de longues périodes. Alors que l’Iran met tout en œuvre pour soutenir le régime des généraux dirigé par Chengriha, afin de semer le chaos dans toute l’Algérie. Où l’Iran n’a ménagé aucun effort en cherchant par tous les moyens à déstabiliser l’Algérie et à œuvrer pour créer un état d’hostilité à la tendance islamiste sunnite et à tous les peuples libres qui ont contribué d’une manière ou d’une autre à affronter la corruption et la tyrannie des généraux.
Effectivement, l’Iran soutient toujours son agent en Algérie, Chengriha, dans le cadre de ses complots visant à propager une guerre civile qui menace de détruire le pays, comme il le fait au Yémen. Ce n’est plus un secret que le soutien énorme du régime iranien au général Chengriha, qui est engagé dans une lutte interne avec le reste des généraux pour contrôler le pouvoir, a des formes variées de soutien iranien à Chengriha, allant du généreux soutien financier et du renseignement à lui fournir des dossiers de corruption de généraux rivaux et former ses officiers aux derniers dispositifs d’espionnage de la population.
L’État iranien a très tôt soutenu les forces anti-manifestations en Algérie, principalement représentées dans les bras financiers, sécuritaires, militaires et politiques du régime des généraux, qui a été touché par des vagues de manifestations. Là où il a été accordé à un grand nombre de membres et de familles de généraux, de faux passeports européens et asiatiques avec un grand savoir-faire. Et ont rapidement formé des blocs opératoires complexes pour faire avorter les manifestations, frapper les voies de la transition, et remettre les anciens régimes au pouvoir, même s’il fallait une nouvelle décennie noire.