Dans le monde contemporain, il n’y a pas de pays développé ou en développement, mais il y a un peuple arriéré ou un peuple avancé qui s’est développé en fonction de ses schémas de pensée, de sa culture, de son comportement, de son mode de vie, de la gestion des événements et des variables qui l’entourent, et de sa volonté de mettre en œuvre l’Esprit et de s’engager dans la méthode scientifique, puis innover et sortir de l’ordinaire pour apporter un changement positif au pays et aux gens. Par conséquent, les pays économiquement, intellectuellement et culturellement développés se sont d’abord rebellés contre eux-mêmes et contre le régime militaire ennuyeux qui les commande.
Pour se libérer de la dépendance intellectuelle à une seule idée et à une seule personne, on utilise la science pour s’avancer, alors que le peuple algérien rechigne à avancer, s’accrochant de plus en plus à la peau des généraux représentant l’ignorance comme science.
Les Algériens utilisent, aujourd’hui, la technologie pour répandre l’ignorance. Ainsi, nos écoles et nos universités ne forment que des chômeurs au lieu des scientifiques, d’ingénieurs, des médecins, et c’est pourquoi les Algériens sont en dehors de la civilisation et de l’histoire parce que nous avons rejeté la science, la philosophie et la logique et nous sommes devenus les esclaves des généraux. Ainsi, les toxicomanes qui croient au faux héroïsme et cherchent des excuses pour expliquer nos erreurs et nos échecs. Et qu’on le veuille ou non, les Algériens sont des gens ignorants, arriérés et stupides qui manquent d’une culture de compréhension, d’analyse, d’hypothèses et de conclusions. Ils ne se contentent pas de répéter les mauvaises idées que le régime aurait pu installer, comme des perroquets de gens qui ne peuvent pas résoudre leurs problèmes parce qu’ils ne sont que des malades obsédés par des combats fictifs concoctés par les services de renseignement pour les distraire, mais qui étaient en réalité des gens qui ne pourrait pas dire non aux généraux.