Depuis quelques temps, les rues de nos villes et villages ne sont plus sûres pour nos enfants. La violence, les viols et les tentatives d’enlèvement d’enfants par de nouvelles méthodes ont semé la terreur parmi les citoyens. Une vague de panique et de peur a submergé les parents, en particulier ceux qui ne peuvent pas accompagner leurs enfants à l’école.
Les associations et organisations de défense des droits humains ont été appelées à agir. Elles demandent l’installation de caméras de surveillance aux abords des écoles et l’exploitation de la numérisation pour protéger l’Enfance. Les parents sont en droit de demander des mesures efficaces pour assurer la sécurité de leurs enfants.
Face à cette situation alarmante, les autorités doivent prendre des mesures rapides et efficaces pour garantir la sécurité de tous les enfants. Les parents ne peuvent plus tolérer cette situation insoutenable. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard. Nous ne pouvons plus accepter que nos enfants soient en danger chaque fois qu’ils sortent de chez eux. La vie de nos enfants est en jeu et il est de notre devoir de les protéger à tout prix.
Sous le voile sombre de ce phénomène terrifiant, la représentante du réseau algérien pour la défense des droits de l’enfant, connue sous le nom de « Nada », s’est levée pour sonner l’alarme. Elle a dénoncé l’augmentation fulgurante des actes de violence, de viol et de harcèlement sexuel perpétrés contre les enfants, ainsi que la diversité des méthodes utilisées pour semer la terreur et l’intimidation parmi ces êtres innocents, en particulier aux abords des établissements scolaires.
« En ces temps troublés, nous assistons à des cas de harcèlement sexuel visant les élèves, garçons et filles, dans les écoles primaires et intermédiaires. Des voyous, qui chevauchent des motos et qui les pourchassent, les menacent et les terrorisent », a-t-elle déclaré d’une voix chargée d’émotion.
La représentante de « Nada » a confirmé que la plupart des élèves ont développé une peur panique d’aller à l’école en raison des violences et des menaces qui planent sur eux. Elle a également souligné que le Réseau de défense des droits de l’enfant a été amené à intervenir dans plusieurs cas liés aux menaces proférées par le biais des nouvelles technologies et des réseaux sociaux.
Mais la violence et le harcèlement ne sont pas l’apanage des femmes, a-t-elle poursuivi. Selon elle, ce fléau touche les enfants des deux sexes, à l’intérieur comme à l’extérieur des murs de l’école. Les motos, souvent conduites par des jeunes délinquants, sont devenues des instruments de terreur pour les élèves et les parents. Ces criminels, promoteurs de drogues hallucinogènes, harcèlent les enfants et les perturbent dans leur apprentissage. Les témoignages des victimes mineures, qui contactent le réseau « Nada » ou appellent le numéro vert, attestent de la gravité de la situation.
Face à cette situation effrayante, il est grand temps que les autorités prennent des mesures draconiennes pour protéger les enfants de ce pays. Leur avenir et leur bien-être en dépendent.