Dans le pays de Mickey, une ombre plane sur le système de santé. Les médicaments, essentiels à la vie de milliers de patients, deviennent de plus en plus introuvables. Cette crise, qui s’installe lentement mais sûrement, est le fruit d’une politique d’austérité implacable imposée par le gouvernement des généraux depuis l’arrivée de la marionnette Tebboune au pouvoir. Son arrivée coïncide avec l’effondrement des revenus pétroliers et la chute libre du dinar algérien. Pour masquer ses erreurs, le gouvernement a décidé de jouer à la corde de l’austérité, entraînant un élargissement inquiétant des médicaments manquants sur le marché, avec une multitude de traitements désormais non remboursables (hors assurance maladie).
Les conséquences sont tragiques et se traduisent par une hausse alarmante des décès parmi les patients qui dépendent de médicaments vitaux, ceux-là mêmes qui leur permettent de mener une vie normale. L’inquiétude grandit parmi la population. Les citoyens, pharmaciens et même producteurs de médicaments s’élèvent contre cette situation inacceptable. Ils réclament avec insistance une révision urgente de la liste des médicaments non remboursés, pour défendre le pouvoir d’achat des plus démunis, notamment ceux à faible revenu souffrant de maladies chroniques.
Dans une pharmacie de la capitale, nous avons rencontré une femme au visage marqué par l’angoisse. Elle se bat pour trouver un traitement pour son VIH, mais les rayons sont désespérément vides. Les médicaments contre les maladies sexuellement transmissibles ont disparu des dépôts, laissant des milliers de malades dans une souffrance inacceptable. Malgré ses efforts pour se faire reconnaître comme porteuse d’une maladie sexuellement transmissible chronique, sa demande a été sèchement rejetée par les autorités sanitaires. Désespérée, elle a dû faire appel à sa famille en France, les suppliant de lui envoyer des médicaments et une aide financière chaque mois.
L’histoire triste de cette pauvre femme, n’est qu’un reflet d’un drame bien plus vaste. Des milliers de citoyens souffrent en silence, piégés dans un cycle infernal de pauvreté, de maladie et de désespoir. Pendant ce temps, le président Tebboune, préoccupé par des priorités lointaines, semble ignorer les véritables défis qui rongent son pays, laissant des générations entières livrées à elles-mêmes face à l’angoisse et à la mort.