Sous le règne de Tebboune, le phénomène du sexe en échange de nourriture s’est répandu, accélérant une révolte des affamés qui pourrait bientôt envahir les portes du palais d’El Mouradia

Bientôt, dans notre pays dévasté, une révolte des affamés et des assoiffés éclatera. Cette situation survient après que la vie est devenue extrêmement difficile, atteignant des niveaux critiques et poussant les citoyens à se nourrir de la chair de rats, de chiens et de chats, et à se battre pour les restes de nourriture jetés dans les décharges des riches et des généraux. Cette crise est exacerbée par l’arrêt, par les autorités militaires, de l’importation de viande de mule, d’âne et de porc en provenance des pays opposés à la politique de la bande terroriste. En outre, le niveau des eaux des barrages a considérablement baissé, entraînant une sécheresse généralisée dans la république dévastée, coupant l’eau potable dans toutes les provinces et répandant la saleté et les maladies infectieuses résultant des déchets humains et des microbes des corps sales.
Ce qui est surprenant, c’est qu’avec la propagation de la faim, de la soif, de la saleté et des maladies infectieuses, le commerce de la prostitution de la chair tendre et de la prostitution masculine a prospéré de manière excessive. Ainsi, les prostituées et les hommes passent une nuit avec des clients du Golfe, d’Afrique, d’Asie ou d’Europe, en échange d’un simple repas chaud et d’un verre de whisky, même frelaté. Plus grave encore, les femmes mariées rivalisent désormais avec les prostituées et les gitons de la république pour séduire les clients visiteurs et les résidents du pays. Elles sont même devenues plus demandées et consommées en raison de la disponibilité de leurs maisons dédiées à la prostitution, avec la bénédiction de leurs maris. Elles pratiquent également le sexe sous toutes ses formes et positions perverses intimes, et leur coût est minime, ne dépassant pas un kilo de pommes de terre, un kilo de viande et quelques bananes, selon leurs déclarations. Leur coût est si bas qu’il pousse à se demander où la bande des généraux nous mène avec leur politique barbare de famine, alors que nous sommes parmi les plus riches du monde en termes de richesses énergétiques et de minéraux rares.