La situation est complètement hors de contrôle, surtout avec l’arrivée du mois sacré de Ramadan et la frénésie des voyous athées et hérétiques qui affichent publiquement leur rupture du jeûne en plein jour, devant les caméras et sous les yeux de tous. Ils déclarent ouvertement leur acte sur les réseaux sociaux, tandis que des prostituées sortent de chez elles, maquillées et vêtues de tenues moulantes et courtes, comme si nous étions en plein été et non en Ramadan. Elles se postent sur les grandes artères pour attirer un client local, un autre hérétique qui se moque du caractère sacré de ce mois, ou se jettent sur un visiteur étranger ou un Gulfien, sans aucune considération pour le mois saint.
Hier encore, les fidèles, pourtant peu nombreux dans les mosquées, ont été surpris par l’attaque d’un grand groupe de jeunes, composé de filles, de femmes et de mineurs, hurlant à tue-tête : « Nous sommes juifs, nous ne jeûnons pas, nous ne prions pas ! », répétant leur slogan sans relâche. Oui, cher citoyen misérable, la vidéo de cet événement est largement diffusée sur les réseaux sociaux du pays. Si vous ne l’avez pas encore vue, vous pourrez constater vous-même ces attaques contre les mosquées, l’intrusion de femmes dans des espaces réservés aux hommes, brisant ainsi le caractère sacré des lieux et du mois saint.
À la tête de ces groupes se trouvent des figures bien connues pour leur athéisme et leur hostilité à tout ce qui touche aux préceptes de l’Islam. Elles militent constamment pour la laïcité comme doctrine, prônant la séparation de la religion et de l’État, prétendant que la supériorité des nations européennes et américaines repose sur l’athéisme et la laïcité. Dans un défi flagrant, ces individus annoncent fièrement qu’ils rompent le jeûne et qu’ils ne croient pas en l’existence de Dieu.
Le plus surprenant est que cette vidéo circule depuis le premier jour de Ramadan, et pourtant, aucun de ces athées hérétiques n’a été arrêté. Dans l’Algérie nouvelle, insulter Dieu et se moquer des rites musulmans ne vous expose à aucune sanction. Mais osez insulter le « pédéraste Tebboune » et sa « bande des quarante chiens », et vous serez immédiatement soumis à la torture, à l’humiliation, voire à la mort.
