Dans le pays de Mickey, le gouvernement du fou Tebboune et sa bande criminelle continuent de gérer les affaires du pays et des citoyens opprimés de manière chaotique, sans se soucier de l’aggravation des crises auxquelles la population est confrontée. Dans un paysage politique marqué par l’incompétence et l’absence de responsabilité, des vents de guerre civile frappent à la porte avec force. L’opposition, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur, s’interroge sur ce qui se passe avec ce gouvernement insensé qui a aggravé la situation, plongeant l’Algérie dans la faim, la pauvreté, les maladies, la prostitution et la déviance. D’où ses ministres et ses généraux tirent-ils l’audace de violer la loi ouvertement, en plein jour, et devant les citoyens lors des sessions de l’Assemblée populaire nationale ?
Depuis l’arrivée du clown Tebboune au pouvoir en Algérie, tous les gouvernements qui se sont succédé sous son mandat ont été caractérisés par l’hésitation et l’absence d’une vision stratégique claire. Les problèmes sociaux et économiques se sont aggravés de manière sans précédent. Le dernier épisode de cet échec est attribué au ministre de la Santé et de la Protection sociale, qui a publiquement admis que la plupart des hôpitaux en Algérie ressemblent à des décharges publiques et que la situation va encore se compliquer après l’annulation de contrats publics bénéfiques aux citoyens démunis et conformes à toutes les étapes légales, sans fournir de justification convaincante, se contentant d’évoquer la politique d’austérité du président Tebboune. Cette décision ne reflète pas seulement une ignorance du principe de continuité du service public, mais ouvre également la voie à des soupçons sur des intentions douteuses derrière ces annulations. De nombreux activistes ont protesté, déclarant : « Au lieu que le gouvernement concentre ses efforts sur le renforcement du secteur de la santé, qui souffre de marginalisation et de mauvaise gestion, nous constatons que le ministre de la Santé suit les traces de son président en adoptant des décisions unilatérales qui servent des intérêts cachés. » Selon la même source, l’annulation d’un contrat d’une valeur de 70 milliards de dinars sans explication claire, comme l’a lui-même déclaré le ministre, soulève des questions légitimes sur les critères d’intégrité et de transparence qui devraient régir la gestion des finances publiques.
