Les écoles dans notre pays, frappé par des années de malheur, connaissent un niveau sans précédent de laxisme et de dépravation morale dans l’histoire du système éducatif national depuis l’indépendance, accompagné d’une grave détérioration du niveau éthique des élèves et des enseignants, ainsi que d’une propagation alarmante de la violence, d’une forte hausse des taux de criminalité, de la promotion et de la consommation de drogues, et de l’apparition de la prostitution et de l’homosexualité dans les toilettes et les coins sombres des écoles, censées être des institutions éducatives et non des lieux de formation de déviants, de prostituées, de criminels, de trafiquants de drogue et de propagateurs d’idées perverses.
Il semble que les écoles chez nous se soient transformées en repaires de corruption et de corrompus, hommes et femmes, à tous les niveaux, et en terrains propices à toutes sortes de crimes et de déviances sexuelles pour les deux sexes. Alors que 16 ministres, qui se sont succédé à la tête du ministère depuis l’indépendance, ont échoué à sauver le secteur éducatif et à renforcer la qualité de l’enseignement, on peut excuser les premiers ministres qui ont pris en charge le secteur dans des conditions difficiles juste après l’indépendance, où ils ont relevé le défi en créant un système éducatif national avec les moyens disponibles. Cependant, ils portent une part de responsabilité dans la formation d’une génération sans identité, fière de la France et de sa langue plus que de ses propres parents.
Face aux manifestations de corruption et à la faiblesse des performances dans l’école algérienne, nous avons décidé de braquer les projecteurs sur le dossier du système éducatif dans le pays, en nous concentrant sur le phénomène de la violence, la propagation de la prostitution et de l’homosexualité parmi les élèves et même les enseignants, qui abusent de leur autorité pédagogique pour exploiter sexuellement les élèves des deux sexes. Ce sujet reste en Algérie un tabou dont on ne parle pas, que les médias du président Tebboune évitent d’aborder. Alors que les étudiants dans les universités obtiennent des mentions d’excellence et de très bien en vendant leurs corps de manière naturelle et reconnue, même par les parents, les élèves dans les écoles nationales sont violés dans les recoins des salles de classe en secret, soit en les attirant avec des bonbons et du chocolat, soit en les intimidant par la violence et les abus des enseignants. Avec la politique des généraux visant à promouvoir l’homosexualité et la déviance parmi les élèves, une idéologie unifiée s’est imposée chez les enfants : la liberté du corps, c’est-à-dire que les garçons et les filles ont la liberté de disposer de leur corps selon leurs désirs et caprices. Avec ce bilan, nous garantissons que notre pays deviendra le premier État arabo-africain à parrainer et protéger les homosexuels…
