Dans l’Algérie de la « décennie noire », on n’a pas surpris les généraux en train de piller les richesses, mais on les a vus s’entredéchirer pour se partager le butin et se battre comme des chiens pour accaparer la part du lion des revenus de Sonatrach. Voilà le vrai visage de la clique qui gangrène notre pays martyrisé ! Depuis que le général Chengriha a mis la main sur le pouvoir, des milliers de militaires et généraux ont été liquidés, jetés en prison à vie ou, pour les plus « chanceux », assignés à résidence par les chefs de cette mafia. Tout ça parce que des alliances et des clans, tous à la solde d’un général plus véreux que l’autre, se livrent une guerre sans merci. Chacun veut s’emparer seul du trône du palais d’El Mouradia et mettre la main sur le magot de Sonatrach. Quant aux généraux rejetés par le tyran Chengriha, ils ont fui ce cloaque, quémandant l’asile en Europe après avoir siphonné des milliards de dollars sur leurs comptes offshore, laissant derrière eux un pays ravagé par la corruption et la désolation. Rester en Algérie ? Une sentence de mort assurée !
La fuite éhontée de ces généraux soulève de sérieux doutes sur la crédibilité de la justice algérienne, surtout quand on sait que ces barons disposent de moyens colossaux pour se déplacer incognito et effacer leurs traces. Récemment, la rumeur a couru que le général Abdelkader Haddad, alias « Nacer el-Djen », ex-patron de la sécurité intérieure, aurait été arrêté entre Khemis Khechna, à la sortie d’Alger, en direction de Bouira. Mais des sources démentent : il n’a jamais été arrêté ! Une autre version, plus crédible, affirme qu’il a filé à l’anglaise via l’aéroport international d’Alger, muni d’un passeport vénézuélien, avec la complicité de Mokhtar Mediouni, PDG de la société de gestion de l’aéroport. L’évasion a eu lieu le lundi 15 septembre 2025 à 23h55, à bord d’un Airbus A320 de Vueling, direction Barcelone, où il a atterri vers 2h15. Là, trois voitures immatriculées en France l’attendaient, et depuis, plus de nouvelles de « Nacer » ! Selon nos sources proches du président Tebboune, ce général, limogé le 22 mai dernier, a en réalité été emprisonné, torturé et sauvagement exécuté. L’histoire de sa fuite et de sa réarrestation ? Un vulgaire rideau de fumée pour camoufler son assassinat et étouffer les demandes de sa famille réclamant son corps. Cette liste macabre s’allonge avec quatre ex-responsables des renseignements et une flopée de généraux, certains condamnés à des peines allant jusqu’à 20 ans de prison. La junte algérienne, un panier de crabes où règnent trahison, corruption et sang !
