Un scandale abject a ébranlé notre nation déjà meurtrie ! Les salles de classe, supposées être des bastions du savoir, se sont muées en infâmes « studios porno en direct ». Des élèves, à peine sortis de l’enfance, âgés de 11 à 16 ans, se filment sur TikTok à moitié nus, dans des postures intimes, en plein cours, diffusant en direct des scènes ponctuées de commentaires sarcastiques et d’interactions malsaines de leurs abonnés. Ces derniers les incitent à « liker » frénétiquement tout en se moquant des professeurs, raillant leur niveau d’enseignement pitoyable.
Ces clips scandaleux, tournés dans des collèges et lycées, se sont répandus comme une traînée de poudre sur les réseaux sociaux, provoquant une onde de choc dans les milieux éducatifs et le monde arabe. Beaucoup y voient un « effondrement dramatique de la dignité de l’institution scolaire » et une « dérive comportementale sans précédent ». Ces adolescents rivalisent avec les stars du porno et les jeunes européens dépravés, exhibant leurs corps dans les salles de classe, au point de donner des migraines insoutenables. Pendant que les jeunes des pays voisins défient le pouvoir et la police pour exiger des réformes dans l’éducation et la santé, en Algérie, nos adolescents et adolescentes exposent leurs derrières et leurs charmes sur les réseaux sociaux pour de l’argent rapide et une gloire éphémère. Quelle honte ! La différence est criante entre l’éducation des enfants du peuple et celle des rejetons des maisons de vice, qui ne font que singer leurs parents et aïeux. Car, en Algérie, nous ne savons commercer que dans la vente de l’honneur et de la pudeur, une profession héritée des ancêtres depuis l’aube de l’histoire. Comme le dit le proverbe arabe : « Le sang est perfide ». Prenons garde à l’émergence d’une génération issue des traîtres du passé, qui bradera le pays pour une misère !
