La clique des généraux, dans notre pays, s’acharne à dresser contre nous toutes les nations du globe, voisines ou lointaines, et ourdit des complots délibérés contre musulmans, chrétiens et juifs, avec préméditation et embuscades calculées. Elle attise les séditions et les fractures en Afrique, en Asie, jusqu’en Europe et sur le continent sud-américain. Et quand des États osent punir cette bande en révoquant les privilèges jadis accordés aux généraux et à leur clique, ceux-ci s’indignent, fulminent et s’étonnent avec une naïveté consternante : pourquoi donc le monde entier nous hait-il ?
Nous avons rompu l’eau, les frontières et jusqu’à l’air avec nos voisins, transformant notre diaspora européenne en une horde de criminels qui paralysent les routes, massacrent les innocents, dépouillent femmes et vieillards. Grâce au parrainage et à la caution des généraux, prostitution et homosexualité sont devenues « licites » : pour quelques dollars, on s’offre mâle ou femelle à sa guise. Mais que l’on vienne en visiteur – palestinien, syrien, turc ou africain –, et l’on vit en Algérie aux frais de la princesse : nourriture, boisson, gîte, harems et mignons, tout est à disposition. L’Algérie nouvelle de Tebboune est devenue la putain universelle : chaque visiteur y dépose ses gènes dans les ventres de nos femmes, car chez nous règne une pénurie criante d’hommes…
Cette semaine, le Parlement français a voté à l’unanimité l’abrogation de l’accord migratoire de 1968 avec l’Algérie, motivé par l’explosion de la criminalité – meurtres, vols, agressions – imputable à nos ressortissants. Les Algériens trustent la première place dans les prisons européennes, incarnant la communauté la plus turbulente, la plus délinquante, la plus meurtrière envers les innocents. À cela s’ajoute le gouffre financier que représente l’accord pour la France : des milliards d’euros que les députés estiment mieux employés pour leurs citoyens que pour des coupe-jarrets algériens. Pire : un plan d’expulsion massive se profile, visant tous les Algériens fichés, qu’ils soient en situation régulière ou clandestine.

























