À l’issue des consultations approfondies, entre le président français Emmanuel Macron et le chien des généraux, Tebboune, il a été convenu d’ouvrir une nouvelle page dans les relations de la tutelle de la France sur l’Algérie, afin de peaufiner l’image du système des généraux et de le montrer comme un système de prestige qui se bat contre la France d’égal à égal, contrairement au reste des régimes africains prostrés. Cela va affecter le subconscient de certains manifestants pour qu’ils pensent que système est en fait « Badis » (brave en berbère) et ne devrait pas faire de révolution contre ce système.
En effet, la campagne de polissage commence par le changement de l’ambassadeur de France, qui s’immisce dans les affaires algériennes, selon les généraux, où plusieurs sites de presse ont indiqué que les jours de l’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, sont comptés, en soulignant que les autorités algériennes ont informé leur homologue français que l’ambassadeur de France est devenu une personne non désirée et qu’il est l’une des causes de tension dans les relations algéro-françaises. Des sources ont déclaré que le successeur de Driencourt pourrait être l’actuel ambassadeur de France à Riyad, François Gouyette.
La décision du départ de l’ambassadeur Driencourt pourrait avoir un lien avec l’appel téléphonique qui a eu lieu entre le chien des généraux Abdel Majid Tebboune et son homologue français Emmanuel Macron il y a quelques jours, au cours duquel il a été convenu de surmonter les divergences et de pousser les relations bilatérales en mettant l’accent sur la coordination afin d’établir la sécurité et la stabilité en Libye et dans la région du Sahel. C’est ce qui a amené les services de renseignement algériens à offrir à la France leur agent Abdelmalek Droukdel, le chef d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), en gage d’amour. Abdelmalek Droukdel a été tué lors d’une opération des forces françaises au Mali après avoir servi le système des généraux algériens pour faire pression sur la France en perturbant la présence française au Mali.