Message d’un citoyen Targui:
Je n’ai jamais imaginé que mon amour à mon pays et ma citoyenneté deviendrait une honte pour moi et mes enfants. Il ne m’est jamais venu à l’esprit que c’était à mon pays de me faire si mal. Et qu’il me transforme en un être méprisable au pays des généraux.
Oui, nous sommes citoyens, mais de la cinquième classe. En raison des types d’humiliation et de mépris envers nous, malgré le fait que le progrès intellectuel humain imposé à tous les pays, même les sous-développés, respecte les conventions internationales des droits de l’homme, mais l’état des généraux est passé à une méthode nouvelle et réglementé en imposant la politique d’affamer la population et fermer la porte au nez, et cela est évident dans de nombreuses images …
En effet, il est difficile pour l’homme Targui de trouver un travail et il est interdit d’accéder aux postes de responsabilités puisqu’il subie toute sorte de discrimination pour accéder à l’emploi, les services de santé et administratifs.
Ainsi, le patient Targui n’est pas comme le patient algérien, car le Targui se rend rarement à l’hôpital s’il tombe malade. Contrairement à l’Algérien, il est soigné dans une clinique publique ou privée, les Touaregs ne sont que des nombres ou des créatures nuisibles dans le pays des généraux.
C’est pourquoi ils ont complètement isolé notre ville «Tinzaouten» de barbelés, qui séparait les citoyens d’une vallée qui était la seule source d’eau pour la population. Et quand nous nous sommes enquis, ils nous ont tiré des balles réelles, comme si nous étions un groupe de chiens errants.
Quelle honte et l’humiliation lorsque nous goûtons le goût amère de l’injustice de la part de ceux qui disaient qu’ils sont les protecteurs de la nation et de l’honneur. Maintenant, je sens une amertume qui tue mon cœur et déplore un pays qui m’a rejeté parce que je l’aimais. On m’a accusé de honte à cause de mon amour excessif à mon pays. C’est un reproche d’un citoyen de cinquième classe au chien de généraux, Tebboune.
Je suis vraiment désolé pour ce reproche, et je suis également très désolé d’avoir imaginé une fois de plus que je suis un Algérien comme les Algériens.