Tout le monde arabe sait que le président égyptien Abdel Fattah Al-Sisi est le « chien fidèle des Émirats arabes unis en Egypte »
Et, avant lui, le général à la retraite Khalifa Hafter, qui est aussi le chien fidèle des Émirats arabes unis en Libye. Et aujourd’hui ce même pays arabe met un a autre chien fidèle en Algérie et ce n’est autre que le chef d’état-major de l’armée, le général Ahmed Gaid Salah.
En absence d’une démocratie complète sur la scène politique dans le pays, des questions ont commencé à être soulevées à propos de la vraie identité de celui qui contrôle et qui gouverne l’Algérie; bien que tous les politiciens, les généraux et les hommes d’affaires de l’ère de Bouteflika ont sauté du bateau coulé en déclarant leur soutien au mouvement populaire dans l’espoir de survivre.
En dépit du fait que le pays est maintenant gouverné par une clique qui prends tous les pouvoirs constitutionnels du président. Cette catégorie bien proche du Gaid Salah regroupe des hommes d’affaires et plusieurs personnes de l’extérieures de l’autorité officielle, ont plongé le pays dans cette crise sans précédent de son histoire, au point que les autorités algériens aient déposé trois partisans revenant d’Égypte au prison El Harrach avant leur procès qui aura lieu le 6 juillet prochain à la suite de la levée des bannières politiques contre Al-Sissi, ce qui a conduit les Emirats Arabes Unis à envoyer des ordres à son chien Salah d’emprisonner ces jeunes et de servir de leçon à ceux qui envisagent de harceler ces chiens qui ressemblent à leur maître .