Le système des généraux et ses associés affirment toujours qu’ils aiment l’Algérie alors qu’ils sont très disposés à la brûler et à la diviser s’ils sentent qu’ils perdront leur pouvoir en Algérie.
Les généraux n’ont laissé au peuple que trois options: quitter le pays, mourir lentement sous la torture dans les prisons ou bien faire face à la dictature des généraux et sortir pour manifester …
En effet, hier, le système des généraux a menacé l’Europe de les inonder d’immigrants algériens si l’Union européenne essayait de se tenir aux côtés du peuple contre le régime militaire. Ainsi, le service de renseignement des généraux a envoyé 400 jeunes Algériens (harragas) sur 49 bateaux sur la côte espagnole en une nuit ce qui a poussé le journal « El Diario » à écrire un gros titre: Que se passe-t-il en Algérie!? Il semble le journal se demandait, y a-t-il une guerre civile en Algérie?
Mais, ce que le journal espagnol ne sait pas, c’est que depuis « l’indépendance », le peuple algérien est soumis à une répression atroce aux mains d’un régime qui met en œuvre une politique globale de dictature, obligeant plus de 6 millions de personnes à quitter leurs foyers. Aujourd’hui, le système des généraux utilise la stratégie du régime syrien, qui est (Al-Assad ou on brûle le pays).
De plus, il s’est appuyé sur la tactique de promotion de l’apprivoisement du troupeau par la fabrique du terrorisme, qui a joué un rôle majeur à mettre le peuple algérien à genou.
Par conséquent, dans ces circonstances, aucune stabilité en Algérie ne peut être obtenue sans renverser les généraux du régime et leurs principaux partenaires qui ont adopté sa stratégie. Parce qu’il est fort probable que le système des généraux estime que la crise de coronavirus doit continuer.
Cependant, ces raisons, même pour ceux qui considèrent la destitution des généraux comme une stratégie indispensable. Les généraux, en revanche, avec leur stratégie de meurtre et de répression, rendent ce processus très difficile.
Sauf lorsque cette destitution est le résultat d’une forte pression extérieure. C’est pourquoi le régime en Algérie suit la politique « des généraux ou on brûle le pays et nous inondons l’Europe des (harragas) algériens ».