L’économie algérienne a connu une chute libre depuis l’arrivée au pouvoir du président fantoche, « Tebboune » après des élections truquées qui étaient sous la tutelle des généraux dictateurs. A l’ère du chien des généraux, la macroéconomie a reculé de plus de 18%, la productivité individuelle a diminué de près de la moitié, et l’inflation a augmenté de façon spectaculaire. Quant au chômage, les chiffres sont terribles …
Dans le même contexte, le cabinet de conseil britannique Verisk Maplecroft a publié un rapport à propos de 37 pays classés comme les plus vulnérables au monde, dont l’Algérie qui a été mise dans la classe des pays pauvres et faibles et que le virus Corona va causer son effondrement. Tandis que le problème chez les généraux n’est pas que l’Algérie va s’effondrer, mais le problème est : « pourquoi le rapport n’a-t-il pas mentionné également la Tunisie et le Maroc ? ».
En effet, les médias des généraux sont sortis, avec la grande stupidité, se demander pourquoi le rapport excluait certains pays arabes et de l’Afrique du Nord, notamment le Maroc et la Tunisie ?
En fait, les médias des généraux devaient montrer au gouvernement les places de disfonctionnement pour y remédier, mais le système des généraux dirige le pays avec la logique du » un problème partagé est un problème réduit de moitié ».
Le système des généraux a oublié que les yeux de ceux qui suivent les affaires économiques mondiales en général et d’Algérie en particulier sont probablement surpris par le rapport du FMI, dans lequel ils s’attendent périodiquement à des taux de croissance économique et d’inflation dans les pays africains.
On s’attend à ce que l’inflation en Algérie atteigne un niveau significatif au cours du second semestre de cette année et que les prix des marchandises et des services augmentent.
En fait, la grande différence entre les niveaux de prix a poussé de nombreux hommes d’affaires à refuser de réaliser leurs transactions avec le dinar algérien car sa valeur diminue très rapidement. Ainsi les riches ont échangé leur monnaie algérienne en euros et en dollars. A ce stade, l’Algérie apparaît dans la forme d’un tableau sarcastique et fragile, comme si un ruban adhésif l’enveloppait dans l’attente d’un effondrement à tout moment.
En plus de l’effondrement économique, le peuple algérien souffre de ce que l’on peut appeler la «tyrannie politique».
Nous constatons que le président « Tebboune » mène depuis son arrivée au pouvoir une répression sécuritaire très forte qui a conduit à de nombreuses arrestations et procès inéquitables.
Le manque de nourriture et de médicaments, l’interruption continue de l’électricité et de l’eau et la faiblesse du système de santé ont contraint des centaines de jeunes à fuir le pays vers l’Espagne.
Tous ces problèmes sont sous nos yeux, mais les généraux ne se soucient pas des solutions, mais ce qui leur importe, c’est pourquoi les rapports internationaux ne mentionnent pas la Tunisie et le Maroc.