Abir Moussi, femme politique tunisienne et une mercenaire qui joue un rôle important en Tunisie pour enflammer la discorde dans le pays et créer un vide politique en application des ordres et des instructions des Émirats arabes unis, qui ont une grande hostilité à l’expérience démocratique en Tunisie et qui s’efforcent de la faire échouer quel que soit le prix.
Ce que fait Abir Moussi au Parlement fait partie d’un plan bien organisé qui lui a été confié et à travers duquel, Moussi et ses partisans cherchent à brouiller le travail du gouvernement et à étouffer l’économie pour qu’une contre-révolution ait lieu en Tunisie …
En effet, la chienne des Émirats arabes unis, Abir Moussi, a reçu l’ambassadeur des généraux en Tunisie pour lui faire comprendre que leur maître Ben Zayed a ordonné d’étouffer l’économie tunisienne. Par conséquent, les généraux ne devraient pas ouvrir les frontières avec la Tunisie et les laisser fermées jusqu’à ce que le gouvernement tombe et avec lui le président tunisien, Kaïs Saïed …
En fait, le coût économique et social, dû à la fermeture continue des frontières entre la Tunisie et l’Algérie est très exorbitant, car il y a des concessionnaires économiques travaillant sur le marché algérien qui se sont retrouvés au chômage. L’Algérie est également un débouché économique important pour la Tunisie, tant dans ses aspects formels qu’informels.
En plus des échanges commerciaux officiels, des milliers de Tunisiens travaillent dans le trafic des marchandises depuis l’Algérie via des voies commerciales parallèles et informelles.
Ainsi, des milliers de personnes franchissent chaque jour les frontières sur la bande ouest du pays afin d’apporter des marchandises dans le cadre du commerce intra-régional.
Le secteur du tourisme a également payé une lourde facture en raison de la fermeture continue des frontières alors que les hôteliers comptaient sur le marché algérien, qui avait auparavant sauvé le tourisme tunisien dans les années passées suite aux attaques terroristes qu’a subi la Tunisie, de sorte que l’Algérie occupe la première place dans le nombre de touristes qui passent leurs vacances en Tunisie.
Les autorités estiment le nombre de Tunisiens qui se rendent en Algérie pour faire du shoping à un million et demi de Tunisiens, alors qu’en retour, plus de 4 millions de touristes algériens se rendent pour le tourisme. Tandis que d’autres moins nombreux, vont en Tunisie pour des raisons de santé ou un traitement dans des cliniques privées tunisiennes. C’est pour cette raison, si les frontières restent fermées, la catastrophe se produira en Tunisie.