La pire chose que le régime des généraux pratique pour assurer le maintien de son hégémonie sur le pouvoir et la société en Algérie est la détention arbitraire ainsi que les sales méthodes utilisées pour opprimer les détenus politiques, comme la torture, le meurtre et même la vente des organes des détenus, afin de mettre fin aux motivations de l’opposition et aux manifestations pacifiques contre le pouvoir actuel …
En effet, il n’y a pas un jour qui passe dans les prisons d’Algérie sans manquer de divulguer les pratiques de ce régime dictatorial en relation avec l’arrestation et la torture des activistes et de militants pacifiques avec des méthodes diverses et variées qui dénotent une insulte à la dignité humaine et se noient dans le marais de la brutalité organisée.
En Algérie, il existe de nombreux exemples qui ne peuvent être comptés dans un seul volume. Ainsi, des dizaines de milliers de dissidents et de militants sont emprisonnés dans ses prisons, dont beaucoup ont été tués, torturés et maltraités et des centaines d’entre eux sont morts des suites de torture ou de négligence médicale, mais nous allons nous concentrer sur un exemple.
Celui du journaliste et militant des droits de l’homme Mohamed Tamalt, qui a été subverti par l’ambassadeur d’Algérie en Grande-Bretagne qui lui a assuré que l’Algérie des généraux avait changé et que la liberté d’expression lui était garantie. Mais dès qu’il est arrivé au pays de Mikey, il a été enlevé et transféré vers le centre d’Antar (Abla), où les prisonniers d’opinion sont torturés par les agents du service de renseignement. Tamalt a été brutalement torturés de manière, de sorte qu’un chiffon plein d’urine a été placé dans sa bouche et il a été complètement dépouillé.
Mais le martyr, Tamalt, ne s’est pas agenouillé devant eux et a essayé de se défendre mais il a été battu et frappé sauvagement avec des barres de fer, laissant des blessures profondes à sa tète qui a été déformée par les coups brutaux qu’il a subi. En suite, il a été transféré rapidement à l’hôpital militaire, Aïn Naadja. Et pour camoufler ce qui s’est passé, il a été déclaré que Tamat a eu des complications suite à sa grève de faim depuis 3 mois.
Et à Aïn Naadja, après que le régime ait su que s’il restait encore en vie, l’affaire va être divulguée, Tamalt a été tué et tous ses organes ont été volés.
Et selon des informations qui circulent au sein de l’hôpital, selon lesquelles, le général Chengriha, qui effectuait la dialyse dans le même hôpital où se trouvait Mohamed Tamalt, a donné ses instructions pour avoir l’un de ses reins. Cependant, le reste des organes a été vendu à des hommes d’affaires pour des sommes fabuleuses.