Aujourd’hui, alors que nous sommes au III e millénaire, la politique de création d’illusion est devenue l’arme la plus puissante en Algérie, car tout ce qu’il faut, un groupe de généraux qui maîtrisent l’art de l’expression et du discours en public comme le traître Boumediene, les médias pourris qui maitrisent marketing avec une somme d’argent qui peut être dépensé pour convaincre les gens de se grand mensonge et ainsi vous pouvez construire de fausses croyances et former des attitudes populaires en faveur de la consommation de produits d’illusion …
En effet, l’industrie de l’illusion en Algérie est bien visible dans le discours du général Chengriha, qui a déclaré que l’Algérie deviendrait l’un des leaders mondiaux dans les exportations d’armes !!
Ici, l’esprit de tous les Algériens s’est arrêté pour se demander de quelle arme l’Algérie exporterait alors qu’elle est le pays en Afrique dans l’importation d’armes. Mais la réponse à cette question est venue de l’établissement militaire en confirmant que l’Algérie exportera une arme mortelle appelée « Fenkouch », qui est en fait une idée pour créer l’illusion dans l’esprit des gens. Autrement dit, il s’agit de créer une réalité virtuelle et de persuader tout le monde et de le faire agir en fonction de celle-ci et de suivre la mise en œuvre de ce plan à travers ses différentes étapes pour aboutir à terme aux résultats que vous espérez, pour que ces résultats soient à apprivoiser le peuple algérien et à le faire nager dans l’héroïsme fantastique et science fiction.
Ici, la seule catégorie du peuple qui est vraiment consciente qui va se rendre compte que les généraux s’occupent seulement de leurs intérêts de toutes les manières et planifient toujours avec une réflexion stratégique qui prévoit les dix prochaines années et les changements qui peuvent survenir.
L’émergence d’une classe consciente au sein du peuple algérien peut influencer la direction des intérêts des généraux. Par conséquent, il est possible que le simple esprit humain n’assimile pas les buts futurs derrière les actions des généraux et les comportements qui se déroulent sur le terrain. Parce qu’il n’est pas un spécialiste de la politique ou n’est pas familiariser avec les expériences passées. Et ici, il fallait écouter les gens d’expérience, et les savants devaient se consulter pour ne pas tomber en proie facile face à la domestication des généraux.