Depuis que le général corrompu Abdelghani Hamel a été arrêté et Chengriha et des généraux ont contrôlé la Direction générale de la sécurité nationale et ont entamé la gestion de cet immense organe à la manière de la police sous la peau de l’armée.
Tout le monde se demande ce qui se passe à la Direction générale de la sécurité nationale: y a-t-il une grève des policiers ou une lutte entre faucons?
Nos sources affirment qu’il existe une grande tension entre les travailleurs des forces de police en raison de la punition de milliers de policiers et de leur transfert vers des zones reculées pour ne pas avoir respecté les ordres d’enlèvement de citoyens et de la répression des manifestants. Outre des milliers de policiers ont été démis de leurs fonctions pour des raisons insignifiantes….
Depuis des années, de nombreux policiers réclament des augmentations de salaire et le retour des licenciés. Les policiers ne sont pas les seuls dans le pays de Mickey à en avoir assez de la situation et le contrôle des généraux de toutes les articulations de la vie en Algérie. Les médecins, les professeurs, les étudiants universitaires, même les soldats endommagés et retraités ont également participé au mouvement de protestation ouvert.
Le dénominateur commun de ces manifestations est que les manifestants trouvent devant eux toujours un seul interlocuteur, qui est la police, le bouclier protecteur du régime en faillite des généraux.
Aucun des officiels ne peut ouvrir un dialogue et personne ne peut négocier, ni le courage de prendre une décision audacieuse et de résoudre un problème non résolu, c’est pourquoi les Algériens protestent contre des problèmes et des revendications anciennes de plusieurs décennies ainsi cette impuissance atteigne actuellement son apogée.
En revanche, lorsque le chien des généraux, Tebboune, a voulu accepter la demande de créer un syndicat de police et d’approuver les augmentations de salaires et de subventions, il a été empoisonné et transféré en Allemagne.
Parce que c’est une question de budget et de trésorerie qui n’est dépensée que pour l’establishment militaire, et pour cela les généraux de l’armée méprisent les policiers, les asservissent et les mettent toujours en face du peuple, et de là, nous bénissons le soulèvement des policiers libres contre le traître le général corrompu, Saïd Chengriha.