Dans un étrange paradoxe dans le pays des généraux, d’énormes sommes d’argent ont été allouées pour le développement de l’une des plus petites communes d’Algérie, puisque le premier responsable à cela est le beau-fils du général Chengriha. Alors qu’au cours des 10 dernières années, 800 milliards de centimes ont été dépensés en vain.
En effet, les signes de la pauvreté sont encore visibles sur les murs de la commune de Sed Rahal et de ses habitants qui vivent encore dans le moyen Âge tout simplement parce que ces 800 milliards n’existent que sur papiers et sur les factures falsifiées.
En fait, 800 milliards de centimes ont été dépensés entre 2010 et 2020, mais ces milliards n’existent que dans les documents administratifs puisque la population est confrontée à toutes les difficultés dans cette commune pauvre, où les citoyens demandent quotidiennement aux responsables de la commune de Sed Rahal dans le Wilaya de Djelfa d’améliorer la situation sociale et d’accélérer le lancement de nouveaux projets en faveur de la population.
Les habitants de cette commune ont indiqué la nécessité de lever leurs ennuis et de résoudre les problèmes qui les entourent de tous côtés malgré les nombreuses plaintes et les nombreux appels qui n’ont pas intercédé en leur faveur devant les responsables, notamment (M.P), le beau-fils du général Chengriha qui a fait des ravages dans cette commune en suivant la politique de marginalisation et d’exclusion contre ses habitants.
En conséquence, ces personnes libres opprimées en Algérie veulent à tout prix intervenir dans le but de les débarrasser du spectre de l’isolement et de l’oppression face à la propagation de la pauvreté, la baisse du pouvoir d’achat et de l’espace culturel.
Ils ont également exprimé leur profond mécontentement envers ceux qui étaient à l’origine de la vie d’amertume qu’ils vivent et qu’il leur est difficile de passer, et ce sont eux qui se plaignent de l’absence services publiques et de l’absence des conditions les plus élémentaires pour une vie décente.
Il n’y a pas de routes goudronnées, et il est certain que tout cela ne serait pas arrivé si tous les responsables, en particulier le beau-fils du général Chengriha, avaient eu l’intégrité, pris ces problèmes au sérieux et savaient qu’il serait tenu responsable s’il échouait dans son travail et qu’il serait jugé s’il volait le budget de la commune, mais puisque nous sommes en Algérie, les généraux et leurs familles sont au-dessus des lois et au-dessus du peuple.