De nombreux juristes ont déclaré que même si le chien des généraux, Tebboune a signé la nouvelle loi de finances, cela ne donne pas une valeur légitime à cette loi car elle enfreint les articles 7 et 8 de la constitution, qui consacre la souveraineté du peuple dans l’autodétermination alors qu’elle est plus forte que la nouvelle constitution que le peuple n’a pas acceptée.
De plus, le peuple n’a pas choisi Tebboune pour être le président de l’Algérie, ce qui contrevient à l’article 8 de la constitution …
Sur cette base, l’autorité du général Chengriha est considérée comme illégale Car elle manque de bonnes manières et pratiques pour protéger les droits du grand peuple Algérien et recours principalement à répandre la peur et l’horreur en utilisant la coercition et la violence ce qui menace la sérénité et la sécurité des citoyens. Notamment dans le cas de la mise en œuvre de cette constitution dans laquelle la société est contrôle par l’autorité militaire, et cela est contraire au droit international car la base de l’autorité est l’existence d’une légitimité fondée sur la constitution de l’État ou la loi et donc le devoir de l’autorité de respecter les droits de l’homme, car le peuple est la source de l’autorité.
C’est la règle de la construction des nations et de leur survie, lorsque le peuple qui est la source des autorités sur le système au pouvoir sort dans les rues, on ne peut pas dire que c’est contre la nature de la relation entre le peuple et l’autorité, mais c’est une restauration de son droit et de sa volonté,
bien que la sortie populaire dans les étapes primaires sont normalement des tentatives d’envoyer des messages de revendications dont le peuple voit son besoin. Mais ça peut aboutir a une révolution quand la population voit que l’autorité au pouvoir n’est pas confiée à sa volonté, à ses besoins et aux responsabilités qui lui ont été confiées, et elle a transformé l’état du mandat qui lui a été confié en une dictature qui prend la tyrannie, la violence et la conspiration comme un moyen de continuer son règne du pouvoir.
C’est ce qui fera transformer sans aucun doute les manifestations en Algérie de la nouvelle année à une révolution courageuse contre le régime dictatorial du général Chengriha.